La « Flore des Cotes-d’Armor » en souscription

Après La Flore d’Ille-et-Vilaine de Louis DIARD (2005), voici le
deuxième tome de la collection « L’atlas floristique de
Bretagne »
. Financé par le Conseil régional et la Direction régionale
de l’Environnement de Bretagne, ainsi que par le Conseil
général des Côtes-d’Armor, cet ouvrage d’environ 500 pages
est édité avec le soutien technique du Conservatoire botanique
national de Brest. Sa publication est prévue pour le mois de
novembre 2006.
Ce bulletin est en fichier joint en format .pdf

L’atlas de La Flore des Côtes-d’Armor est le fruit
d’un travail d’inventaire de terrain réalisé pendant
25 ans par 3 enseignants du secondaire
passionnés de botanique (Daniel PHILIPPON,
Rémy PRELLI et Laurent POUX
), et de leurs collaborateurs.
Réalisé en collaboration avec le
Conservatoire botanique national de Brest, il
présente sous forme synthétique le résultat d’observations
faites pour 1 520 espèces de plantes
vasculaires.
L’atlas de La Flore des Côtes-d’Armor se découpe
en trois grandes parties :
– une présentation générale du département des
Côtes-d’Armor (relief, géologie, climat, hydrographie,
éléments de paléobotanique…) et un
aperçu de l’histoire de la botanique dans le
département,
– une présentation illustrée de la flore et de la
végétation costarmoricaines, comportant près
de 500 photographies de plantes et de milieux
naturels,
– environ 350 pages de cartes de répartition de
plantes vasculaires, avec commentaires synthétiques
(1 201 cartes et commentaires au total).
L’analyse et le traitement des données présentées
dans cet atlas permettent au lecteur :
– d’analyser les principaux traits de la richesse
et de la diversité floristique du département,
– de dégager les grandes composantes de la
répartition des espèces végétales.
L’atlas de La Flore des Côtes-d’Armor s’adresse
bien entendu aux spécialistes de la botanique
mais également aux personnes passionnées par
la nature et à tous ceux qui se préoccupent de la
conservation de la flore et des paysages de ce
département.

2 commentaires

  1. Le papier c’est bien, mais le numérique c’est encore mieux. Aussi est-il inclus dans cette souscription une version numérique (format PDF ou base de données libres d’accès de cet ouvrage) afin de pouvoir utiliser plus facilement les données scientifiques en citant les références bibliographiques dans des études appliquées ultérieures ? Cette facilité d’accès aux données serait d’autant plus souhaitable au regard des contributions financières d’organismes publics.

  2. La présentation ne précise pas si on y trouve le nom des plantes en gallo et en breton. Qui le sait ?
    C’est tout à fait indispensable en raison des nombreuses appellations populaires, souvent intéressantes.

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