Le papillon, reflet de la perte de biodiversité

Dans les années 50, les papillons peuplaient et agrémentaient nos campagnes, nos montagnes et nos jardins.

Dès les années 60, le remembrement sonna le glas d’une certaine naturalité des champs, par l’arasement systématique et irréfléchi de millions de kilomètres de haies et de bocages, mégalomanie anthropocentriste d’une agriculture intensive désireuse d’accroître les surfaces cultivées et de faciliter le passage de la machinerie lourde.
Les conséquences de ce saccage furent celui d’un écocide dont on se repent encore.

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Un article de Michel R. TARRIER, un des auteurs de l’ouvrage : Les papillons de jour du Maroc – Guide d’identification et de bio-indication.

Lien avec l’ouvrage présenté par l’éditeur

1 commentaire

  1. J’adhere totalement à cet article,en simple jardiniere que je suis,mais difficile de convaincre le voisinage sur les vertus d’une prairie quand son seul objectif et d’avoir un jardin propre et classique bordé de maaaaagnifiques geraniums…..

    NB il parait que je suis une jardiniere paresseuse!!!

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