Comment imagineriez-vous l’outil botanique idéal ?

Rêvons un peu... Et tentons de peindre/dessiner un outil qui n'existe pas, qu'on ne connait pas, mais qui pourrait réinventer la botanique. Concept, technologies, idées innovantes... À vos commentaires !

Rêvons un peu… Et tentons de peindre/dessiner un outil qui n’existe pas, qu’on ne connait pas, mais qui pourrait réinventer la botanique. Concept, technologies, idées innovantes… À vos commentaires !

Je préfère plutôt l’idée de faire évoluer l’outil Tela vers quelque choses qui n’existe pas déjà, auquel on pense même pas, commentaire de Marie Portas à l’article Des relais locaux Tela Botanica, qu’en pensez-vous ?.
Voici une réaction qui inspire et à laquelle les membres du réseau Tela Botanica auraient beaucoup de choses à dire et à imaginer.

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6 commentaires

  1. L’outil botanique idéal pour moi serait un appareil portable sur le terrain (type appareil photographique) dans lequel on pourrait télécharger via un site internet des banques de données (exemple: la flore méditérranéenne). Sur le terrain, une simple photographie d’une plante permettrait avec la banque de l’identifier et d’avoir des renseignements sur sa répartition, son statut, son utilisation…

    1. Un appareil portable doté :

      1°)d’un GPS,

      2°)d’un appareil photo,

      3°)d’une base de données

      4°)d’une connexion à Internet permettant la consultation d’une base de données extérieure complétant celle de l’appareil lui-même.

      5°)d’un logiciel de reconnaissance permettant une approche pour déterminer la plante observée.

      Bref,disposer de la possibilité d’enregistrer et/ou de transmettre les informations sur la découverte. (photos,observations,notes:lieu,saison,date,heure…etc…)

      D’un prix abordable bien entendu.
      Les tablettes actuelle pourraient remplir toutes ces conditions,reste à les compléter des logiciels nécessaires.

  2. sans rever, pour etre simplement en accord avec le Code, sans hypocrisie, il faut
    -des photos de détails du type nomenclatural montrant les caractères différentiels par / taxons voisins
    -diagnose et protologue comparées pour le taxon et ceux proches qui ont été décrits ultérieurement
    -la compilation des caractères différentiels employés dans la littérature, avec leur validation dans tableau de type Adanson
    -les correspondances avec les principales références de détermination usuelles

  3. Pour moi il serait double : l’un électronique combinerait des fonctions GPS, cartographiques. On accèderait aux listes de plantes relevées dans le lieu, un carnet en ligne s’initialiserait avec les données GPS.

    L’autre serait papier, il sagirait de flores locales, que l’on pourrait acheter ou imprimer soi même. La clé de détermination serait adaptée aux plantes présentes, et en plus des éléments traditionnels ( photos, descriptifs, etc.) on trouverait un code barre identifiant la plante.

    L’appareil nomade pourrait lire ce code et remplir mon carnet personnel….

    Bref…

  4. > le carnet en ligne a posé les premières bases de l’outil idéal. Certaines évolutions sont attendues avec impatience:
    – des outils pour mieux caractériser les photos transmises, pour une meilleure pédagogie en retour: feuille, fleur, fruit, altitude, etc. Permettra d’illustrer la description de chaque détail de la plante, ainsi que de faire des statistiques sur périodes de floraison, de fructification, etc.
    – des outils récapitulatifs privés : nombre d’espèces différentes observées, nombre de communes, bilan graphique des lieux visités, etc., et publics: résolution des observations jusqu’à la commune sauf pour des espèces menacées. Cela pourra aller jusqu’à l’inventaire floristique par commune. Chacun pourrait voir si son observation est nouvelle ou pas.

    > pour l’outil nomade idéal, deux options non opposées:
    – un carnet en ligne nomade (pour iphone ou ipad) intégrant automatiquement le GPS (comme indiqué par Augustin) et permettant sur le terrain de saisir les observations, avec des propositions automatiques en fonction de la localisation.
    – une flore de poche mais cela existe déjà comme la simple mais très séduisante application pour iPhone « Fleurs en poche » de Pierre-Olivier Templier.
    – une troisième option, plus futuriste mais je crois que des équipes y travaillent dessus, une détermination électronique basée sur les photos de la plante.

  5. l’outil botanique idéal serait, pour moi:

    – accessible à tous, tant sur le plan financier que sur le plan pratique (accès à la connaissance, point de vente ou de partage).

    – très précis par les images (photos de chaque partie de la plante) et par la description (une description ultra détaillée des caractères différentiels et sa géographie)

    – exhaustif sur la partie géographique concernée (local, régional, national ou…mondial?!)

    – facile à transporter (léger, et imperméable! …même quand il y a des intempéries)

    – une annexe qui reste à la maison reprenant l’origine du nom, l’utilisation de la plante passé/présent, son histoire…

    mais il s’agit d’un idéal…

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