Un outil mesurant la qualité de gestion écologique d’un espace

Indicateurs de biodiversité : un nouvel outil pour les inventaires floristiques.

Indicateurs de biodiversité : un nouvel outil pour les inventaires floristiques.
Agriculteurs en reconversion, membres ou employés d’une association naturaliste, responsable des indicateurs RSE d’une entreprise, Indicateurs de biodiversité est là pour vous aider à mesurer la qualité de la gestion des ressources naturelles.

Notre outil vous propose de réaliser des inventaires botaniques dans une zone géographique de votre choix, et d’en tirer des indicateurs pertinents sur la gestion des ces zones.

Indicateurs de biodiversité, outil simple et personnalisable (dépendant de la plateforme iHerbarium), vous permet de réaliser rapidement et simplement des inventaires de richesse spécifique en plantes.
Après avoir choisi votre zone géographique d’intérêt, vous pouvez créer rapidement et simplement votre propre inventaire floristique, en déposant en ligne une succession de photographies de plantes différentes.

Un nouvel outil de travail

Débutez rapidement votre inventaire
Si vous le désirez, Indicateurs de biodiversité peut vous proposez un accompagnement pour la mise en place de votre inventaire de biodiversité. En fonction des objectifs de votre inventaire  nous pouvons notamment vous conseiller sur le choix de la zone d’étude ou la méthode à appliquer pour réaliser votre inventaire.

Une participation de tous à un projet collectif
Les outils d’aide à la détermination ont été construits pour que chacun puisse participer en fonction de ses connaissances, spécialistes ou non-spécialistes, à la détermination des plantes.
En utilisant Indicateurs de biodiversité pour réalisez vos inventaires, vous contribuez à un projet collectif au sein duquel les utilisateurs intéressés par le projet s’apportent une aide mutuelle. En indiquant sur le site les noms communs ou scientifiques de plantes que vous connaissez ou en répondant à des questions simples (couleur, forme, …) concernant les observations déposées, vous contribuez à identifier les plantes et à améliorer la qualité des indicateurs.

Un apport complémentaire d’informations
Une des problématiques des inventaires de biodiversité est la durée et la surface de l’échantillonnage analysé par les experts sur le terrain pour effectuer les relevés. Avec notre outil, il est possible de déléguer, à des personnes n’ayant pas de connaissance botanique, une partie de la réalisation des inventaires sur les différents sites, à plusieurs périodes de l’année , et ainsi pouvoir compléter les informations dont vous pouvez disposer.

>> Utilisez notre outil, gratuitement et retrouvez plus d’informations en consultant notre site internet : http://www.indicateurs-biodiversite.com/.

6 commentaires

  1. Encore un « outil » inventé par une entreprise (Ex Algébra d’après leur numéro de téléphone, spécialiste en Conseil en systèmes et logiciels informatiques) qui ne sait pas de quoi elle parle :
    -> Un indicateur sert à mesurer des tendances. Or là on mesure quoi ? Un nombre d’espèces de plantes (indicateur unique de la biodiversité du « site »), n’importe où, n’importe quand : « De plus, il n’y a pas de contraintes de temps particulières. Bien que le printemps et l’été soient les périodes les plus favorables à l’étude car la grande majorité des plantes fleurissent à ce moment, les photos peuvent être prises tout au long de l’année » !

    N’importe comment : « appareil photo (avec GPS intégré de préférence), ou par smartphone, les photos doivent être suffisamment détaillées et nombreuses pour pouvoir identifier les espèces »

    Heureusement le logiciel est poussé « Quelle est la couleur de la fleur? Quelle est la forme de la feuille?); à partir des réponses données, iHerbarium parvient à identifier la plante. Il fournit également d’autres informations, comme le genre et la famille de la plante »

    Ce pseudo inventaire photographique, est complètement bancal (j’imagine les résultats pour les Matricaria, Anthemis, graminées, carex…).

    Encore un attrape nigaud pour faire de l’argent en se substituant aux botanistes qui ne servent à rien et coûtent cher, on sait tous que la botanique se fait par ordinateur et pas sur le terrain…

    Je suis déçu que Téla publie ce genre de brèves, très contreproductive pour l’aménagement du territoire. Certains bureaux d’étude ou maîtres d’ouvrage peu scrupuleux et incompétents vont nous faire des études d’impact avec ce genre d' »outil ».

    Si vous souhaiter évaluer la qualité de vos actions ou reconversion agricole, contacter une association de protection de l’environnement locale (si elle a le temps entre 2 études réalisées pour le privé), un amateur éclairé ou un bureau d’étude respectable, il y en a plusieurs.

    1. C’est malheureusement une tendance, appuyée par l’Administration qui recherche partout des indicateurs…

      Par contre il me semble intéressant que ce genre de choses soit porté à connaissance du plus grand nombre, accompagné des critiques (qui peuvent être constructives…) judicieuses.

      En tout cas le site proposé est pour le moins opaque… Aucune démo…

    2. Effectivement, ce site « indicateurs de biodiversité » semble plus relever de la supercherie que de la botanique.
      On pourrait prendre divers exemples sur cette page web, voici un extrait :

      « iherbarium est un outil intéressant pour : * avoir une vision complète des végétaux présents sur un terrain »
      = ce serait mieux que de faire une prospection sur le terrain car complet.
      C’est désolant.

    3. J’ai essayé de répondre à vos remarques dans une nouvelle page « Questions fréquentes » sur le site.

      Effectivement il se peut que nous n’ayons pas été clairs sur les objectifs et ambitions du projet, qui ne sont certainement pas de remplacer des botanistes.

      Vous pensez que « Ce pseudo inventaire photographique, est complètement bancal » :
      C’est un peu vrai, mais c’est suffisant pour obtenir des bons indicateurs

      Vous dites: Encore un attrape nigaud pour faire de l’argent :
      Tant que nous n’avons pas de recul sur plusieurs années, il n’est pas question de commercialiser quoique ce soit, toutes nos activités et développements sont actuellement gratuits, et si ils devenaient payants, je ne pense pas que ce serait « un attrape-nigaud »

      Vous rajoutez : Certains bureaux d’étude ou maîtres d’ouvrage peu scrupuleux et incompétents vont nous faire des études d’impact avec ce genre d' »outil ».
      Un outil reste un outil, il peut être mal utilisé : celui-ci a un positionnement un peu différent d’autres, en particulier par son coté participatif qui engage les personnes intéressées par un enjeu environnemental à s’investir, à leur niveau, plutôt que d’aller appeler des experts extérieurs (chers ou peu disponibles, comme vous le faites remarquer en dessous).

    1. je me permets de recopier la page « Questions fréquentes » de notre site, tout en rappelant que notre but final est de fournir des indicateurs sérieux, pas des inventaires :

      Est ce que ce n’est pas illusoire d’essayer de déterminer des plantes à partir de photos ?

      Il est clair qu’une détermination de qualité nécessite le plus souvent de manipuler le spécimen. Néanmoins nos expérimentations montrent que si on peut avoir des erreurs sur l’espèce, le genre et la famille sont souvent corrects. Par ailleurs, le projet ne s’applique pas à des zones sensibles ou exceptionnelles en terme de flore, mais s’intéresse à la biodiversité « ordinaire »

      Vous voulez évaluer la biodiversité avec des données dont vous savez qu’elles contiennent des erreurs ?

      L’utilisation des informations sur les genres et familles des plantes permet de trés bonnes estimations. Il y a de nombreuses publications sur ce sujet, nous citerons :
      MEASURING MORE OF BIODIVERSITY: CAN HIGHER-TAXON RICHNESS PREDICT WHOLESALE SPECIES RICHNESS? de Paul H. Williams & Kevin J. Gaston dans Biological Conservation 67 (1994) 211-217
      Using the scaling behaviour of higher taxa for the assessment of species richness de Carlo Ricotta*, Mara Ferrari, Giancarlo Avena , dans Biological Conservation 107 (2002) 131-133

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