Coup de projecteur sur nos contributrices !

Le projet "Capitalisation d'Images" existe depuis presque 4 ans ! Ce projet à pour objectif de collecter des images de la flore de France, afin d'alimenter un logiciel d'aide à l'identification des plantes: "Identify".

Le projet « Capitalisation d’Images » existe depuis presque 4 ans ! Ce projet à pour objectif de collecter des images de la flore de France, afin d’alimenter un logiciel d’aide à l’identification des plantes: « Identify ».
Nous souhaitons vous présenter le travail de Liliane et Geneviève qui participent activement au projet « Capitalisation d’Images ». Leur travail est précieux, car il permet d’enrichir notre base de données et donc d’améliorer notre logiciel d’aide à l’Identification des plantes de la flore de France : Identify. Grâce à elles, vous allez découvrir les belles couleurs de l’automne, la surprenante singularité des écorces et la présence de certains fruits en automne.

– Les feuilles, avec deux méthodes, les premières photographies présentent des photographies en conditions naturelles et la dernière présente un scan. Les deux types d’images, nous sont très utiles pour améliorer notre outil d’identification, « Identify ». En effet, obtenir la gamme complète des couleurs du printemps à l’automne d’une même espèce est important, car ce logiciel d’identification pourra ainsi être efficace quelque soit le moment de l’année où il sera utilisé.

– Les fruits d’automne, certaines plantes comme la Clématite et l’Aubépine fructifient en automne, plutôt qu’au printemps. D’autres, comme le Lierre, présentent des fruits mâtures en plein hiver. Il s’agit peut-être là d’une stratégie pour avoir plus de chance d’être mangée et ainsi disperser ses graines ! Il faut aussi souligner que cette production de fruits s’avère également très utile pour les animaux dont les ressources diminuent peu à peu au cours de la saison. Un échange de bons procédés en quelque sorte ! Pour en savoir plus http://animateur-nature.com/Autres_sujets/fruits_sauvages.html
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– Les écorces, elles sont vraiment impressionnantes et très variées, un sujet très intéressant à suivre en fin d’automne et en hiver lorsque les feuilles sont tombées. Nous vous invitons d’ailleurs à découvrir le travail remarquable de Cédric Pollet, sur les écorces des arbres du monde entier. N’hésitez pas à nous transmettre vos photos d’écorce, ce qui nous permettra de progresser sur l’usage de ce type d’images pour l’identification des plantes.
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Crédits Photographique :

Photographie 1 : Acer monspessulanum – Geneviève Botti – Licence CC by SA

Photographie 2 : Cotinus coggyria – Geneviève Botti – Licence CC by SA

Photographie 3 : Populus alba – Liliane Roubaudi- Licence CC by SA

Photographie 4 : Crataegus monogyna – Liliane Roubaudi- Licence CC by SA

Photographie 5 : Clematis vitalba – Liliane Roubaudi – Licence CC by SA

Photographie 6 : Mespilus germanica – Liliane Roubaudi – Licence CC by SA

Photographie 7 : Populus alba – Liliane Roubaudi – Licence CC by SA

– Si vous désirez en savoir plus sur ce projet je vous invite à suivre ce lien : http://www.plantnet-project.org/page:contribuer
– Pour découvrir notre galerie d’images, cliquez ici
– Pour vous inscrire à ce projet, cliquez ici

Un grand merci pour votre participation et particulièrement à Liliane Roubaudi et à Geneviève Botti pour leurs contributions,

Jennifer

Tela Botanica

16 commentaires

    1. Les licences Creative Commons ont été adaptées au droit français par des juristes et respectent les exigences de la loi française. L’auteur n’abandonne en aucun cas son droit moral – de paternité – la licence CC permet par contre d’autoriser à l’avance la réutilisation (exploitation) de la photo sans passer par des cessions de droits. Véronique – Tela

    2. C’est tout à fait faux et vous le savez bien car je vous ai déjà contacté à ce sujet. Le droit moral ne permet pas de céder à l’avance à toute personne des photos (ou des textes).

      Aucune licence CC n’est juridiquement valide en France, simplement personne n’a encore attaqué à ce titre, nuance.

      Je comprends tout à fait vos besoins affichés, et il y aurait tout à fait moyen de les satisfaire dans le cadre du droit français. À moins, bien sûr, que des projets cachés d’utilisation n’entrent pas dans ce cadre juridique.

    3. Ces photos sont destinées à servir dans le cadre d’une activité de recherche. En aucun cas elles ne concurrencent le travail des photographes professionnels. Heureusement que les contributeurs fournissent leurs images gratuitement, car il serait totalement impossible d’acheter les centaines de milliers d’images requises pour mener le programme de recherche à terme. Nous les en remercions vivement !

      Daniel Mathieu

    4. Si cela était vrai, alors vous n’auriez pas besoin d’activer dans la licence CC la partie commerciale, qui est habituellement refusée par tous ceux, honnêtes, qui demandent des photos gratuites pour un usage associatif.

    5. Les dispositions légales étrangères et qui n’ont pas d’existence légale en France ne sont invoquées que par des personnes/organismes/sociétés commerciales ou non qui ont un intérêt financier en jeu.

      Nous avons tous bien compris que c’est un moyen d’obtenir du travail, des biens ou des droits le moins cher possible, si ce n’est gratuit.

      Il serait, comment dire, agréable ? que les intervenants en France cessent d’invoquer je ne sais quelle loi exotique qui leur permet de bénéficier d’avantages de tous genres ici sans en payer le prix.

    6. Ça ne vous coûte rien de l’affirmer sans l’étayer.
      Souffrez donc que je ne vous croie.

    7. C’est pourtant facile de croire qu’un photographe professionnel ne peut pas être concurrencé par des photos aussi indigentes que celles en tête du fil, de même qu’il ne peut pas être gêné par des utilisations parallèles de la loi.

      Là n’est pas le sujet, mais le fait que le partage ne justifie pas à mon sens d’utiliser des lois qui ne sont pas les nôtres, surtout si nos lois permettent le partage.

      Sauf à militer, consciemment ou inconsciemment, pour le « libre » qui est un détricotage de nos lois, et donc de notre culture (car l’un ne va pas sans l’autre).

      Je trouve donc dommage autant qu’incompréhensible que Telabotanica, qui s’inscrit dans la culture française et ne lutte pas contre (que je sache), et qui prône le partage, ne choisisse pas une autre voie (qui, cela dit, en passant, lui ouvrirait l’accès à d’autres photos, y compris de professionnels).

    8. La vie est obligatoire et devrait donc être totalement gratuite. Tout devrait être gratuit. Payer son corps tous les jours en achetant sa propre nourriture est hors les droits de l’homme, c’est de l’esclavage. Ce n’est pas qu’une opinion, c’est une description, c’est un fait.

  1. Bonjour, je me permets de réagir au message de l’auteur anonyme soulevant la question de la validité en droit français des licences créative commons en citant deux extraits d’un article tiré du blog d’un juriste assez célèbre :

    – « S’il est vrai que ces licences ne sont pas expressément consacrées par le Code de la propriété intellectuelle, bâti autour de la protection du monopole d’exploitation de l’auteur, ce débat n’a à mon sens absolument pas lieu d’être. Le droit d’auteur français a toujours admis que l’auteur était libre de décider des conditions dans lesquelles son œuvre était divulguée : l’article L.121-2 du CPI le dit d’ailleurs expressément. »

    – « D’ailleurs, le Conseil Supérieur de la Propriété Littéraire et Artistique a rendu le 26 juin 2007 un avis n°2007-1 sur ces licences, avis où pas un seul instant la validité de ces licences n’est remise en question. »

    Le texte complet est disponible à cette adresse :
    http://www.maitre-eolas.fr/post/2010/12/26/Lrsquo%3Baffaire-ldquo%3Bla-carte-et-le-territoirerdquo%3B et constitue un éclairage tout à fait interessant sur ces licences en prenant comme cadre la controverse sur un livre dont on avait accusé l’auteur d’avoir plagié ses textes sur des articles de wikipedia.

    Enfin, pour réagir à votre déclaration « Si cela était vrai, alors vous n’auriez pas besoin d’activer dans la licence CC la partie commerciale, qui est habituellement refusée par tous ceux, honnêtes, qui demandent des photos gratuites pour un usage associatif. » je me permettrais de citer la page des droits de reproduction de tela botanica :
    « A l’image d’Internet, système ouvert de communication électronique entre personnes, nous vous invitons à faire avec nous le choix de contenus ouverts, propres à être re-publiés et ré-utilisés. Tela Botanica a choisi de publier par défaut son contenu sous licence libre Creative Commons (by-sa) afin d’en faciliter la divulgation. »
    Ainsi, l’autorisation de nos données pour une utilisation commerciale, bien loin de servir un quelconque prétexte caché, sert au contraire à faire profiter nos donnés au plus grand nombre, peu importe l’usage qu’ils désirent en faire qu’il soit commercial ou non.

    Cordialement,

    Aurélien – Tela botanica

    1. Manifestement, vous ne connaissez pas le droit d’auteur ou bien, plutôt, vous faites semblant, et vous citez des arguments tendancieux.

      Pour commencer, citer Maître Eolas est révélateur car et d’une il est plutôt connu comme blogueur (excellent) que comme avocat, et de deux il n’est absolument pas compétent en propriété intellectuelle. Pour rappel, les affaires de droits d’auteur doivent désormais être jugées par des cours spéciales, autant dire que la question de la compétence se pose.

      C’est d’autant plus tendancieux que dans l’affaire Houellebeck, que vous citez, l’avocat de l’éditeur avait réduit la partie adverse au silence (tellement, qu’elle a capitulé) en arguant simplement du fait que les licences CC n’ayant pas d’existence légale en France, elles n’étaient pas opposables.

      Enfin, s’il est vrai que l’auteur peut faire ce qu’il veut, il ne peut par contre pas céder ou obérer son droit moral (qui est inaliénable, donc y compris inaliénable par lui-même).
      Voir Art. L. 121-1.
      « L’auteur jouit du droit au respect de son nom, de sa qualité et de son oeuvre.
      Ce droit est attaché à sa personne.
      Il est perpétuel, inaliénable et imprescriptible. […] »

      Or, justement, céder par avance à des tiers consiste à se mettre dans l’impossibilité de faire jouer son droit moral. Et c’est cela qui n’est pas conforme au droit d’auteur.

      Il faut dire à vos contributeurs qu’avec la licence que vous avez choisie, si par exemple un tiers qui serait Monsanto, ou autre grave pollueur, ou un parti politique extrémiste ou une secte, utilisait une photo, l’auteur ne pourrait rien dire, et ne pourrait pas retirer son autorisation.

      On comprend aisément que c’est absolument contraire à l’esprit du droit d’auteur. Qu’une telle possibilité soit offerte par une association comme la vôtre pose question.

      De plus, en insistant sur l’aspect commercial, vous sortez du cadre d’une association, qui n’a pour vocation ni d’être lucrative elle-même ni de permettre à d’autres de l’être (ce que vous faites en exploitant les photos des autres).

      Dernier point pour aujourd’hui, une cession de droit (car c’en est une) doit impérativement être limitée en temps et en espace, et définie quant aux supports, ce que vous ne faites pas.

      Si un peu de lecture vous intéresse : comme je ne peux pas mettre de lien, copiez collez ces mots dans Google et lisez le premier article : creative commons contraire droit

    2. Bonjour cher anonyme,

      Bien loin de prétendre connaître le droit d’auteur, je me permettais de citer justement un blogueur connu et reconnu, justement pour ne pas impliquer ma propre ignorance sur un sujet que je connais pas bien (voire pas du tout), certes il ne se déclare pas spécialiste du droit d’auteur mais n’en reste pas moins un juriste et donc plus informé sur la loi que la plupart d’entre nous (à moins que vous soyez vous même spécialiste du droit).

      D’autre part l’affaire que je citais ne l’était que pour situer le cadre de l’article ainsi que des propos cités, et ne concernaient absolument pas la fin de l’affaire en lui même. Car l’affaire portait sur le fait qu’il y ait eu ou non contrefaçon de la part de M. Houellebecq et le blogueur ayant décidé de publier le livre sous pretexte que la licence wikipedia serait contaminante dans sa « gratuité » (je simplifie) n’avait pas qualité pour le faire. Ne déformez pas mes propos, l’affaire Houellebecq n’était pas le procès de creative commons, la conclusion de l’affaire n’a rien donc à faire dans notre propos.

      Enfin, sur ces quelques mots « Si un peu de lecture vous intéresse : comme je ne peux pas mettre de lien, copiez collez ces mots dans Google et lisez le premier article : creative commons contraire droit ».
      Je me permet de réagir en ma qualité non pas de béotien du droit mais d’informaticien en vous éclairant sur le fonctionnement de la recherche google. Celle-ci se fie à vos préférences et vos habitudes de navigation sur internet (collectés à votre insu pour des utilisations diaboliques sans doute) pour personnaliser les résultats de vos recherches. La recherche que vous m’indiquez donc me ramène un premier résultat sur le faq de creative commons section « Ces contrats sont-ils valides et applicables en droit français ? » (Étonnamment la réponse est « oui »).

      Pour résumer, s’il est dans votre habitude de chercher des sites indiquant que Creative Commons n’est pas conforme au droit alors google vous en ramènera de plus en plus à chaque recherche, vous confortant encore et encore dans vos opinions et habitudes établies.
      Le fait étant tout aussi valable pour moi.
      D’ailleurs vous pouvez inclure un lien dans un commentaire en ne reprenant que la partie commence par www (donc le sans le http).

      Vous utilisez un argument « ad hominem » dès la première phrase m’accusant de faire semblant de connaître quand justement je ne fais que citer. La violence avec laquelle vous réagissez en faisant appel à des situations extrêmes (utilisation par des sectes etc…), les intentions que vous nous prêtez (« ce que vous faites en exploitant les photos des autres ») ajouté à cela l’anonymat dont vous faites usage pour exprimer votre diatribe me font conclure ceci : « ne nourrissez par le troll ».

      Aurélien

    3. Merci pour la leçon. Mais je dirai simplement : puisque vous ne voyez pas de problème, eh bien pourquoi n’appliquez vous pas un système français ou européen ?

      Je vous suggère donc d’utiliser le CPI (Code de la Propriété intellectuelle) tel qu’il est, et non pas en utilisant une licence CC, surtout si vous ne connaissez pas le droit d’auteur, ce que vous semblez dire.

      Vous montreriez ainsi bien plus votre bonne foi qu’avec votre argumentation spécieuse qui noie le poisson.

      Au fait, pourquoi ne devrais-je pas être anonyme, quand vous demandez des photos gratuites à des tas de gens que vous ne connaissez pas, dont les photos seront noyées dans la masses donc anonymisées (même avec le crédit dessus) et qui, en échange de leur cadeau, n’auront même pas le droit d’être adhérent à votre association à tarif réduit.

      À ce propos, je dois être idiot, mais je n’ai pas trouvé sur le site de bulletin d’adhésion ?

      Quant au lien, le voici :
      http://www.ame-nature.com/index.php/droit-dauteur/158-licences-cc-creative-commons–contraires-au-droit

    4. je me permets d’intervenir dans votre discussion car je ne comprends pas votre entêtement au sujet du droit d’auteur.

      En premier lieu, je ne comprends pas en quoi l’utilisation de la licence CC vous embête.
      Si des gens donnent leur photos à une association agréée reconnue d’interet général et qui contribue en outre au progrès et à l’accessibilité de la science, ils en ont le droit.
      En second lieu, et si par extraordinaire vous subissez un quelconque préjudice vous donnant un intérêt pour agir, vous pouvez saisir une juridiction mais en l’espèce je ne crois pas que tel soit le cas. Au surplus le caractère anonyme de vos message me renforce dans cette conviction.
      Par ailleurs, vos accusations peuvent être qualifiables de diffamation par voie de presse, infraction qui se consomme sur internet. Je vous conseille donc de vous montrer moins agressif et plus mesuré dans vos propos.

      En troisième lieu, vous qui semblez manier le droit, puis-je me permettre de vous rappeler qu’une association nonobstant son but non lucratif peut faire des bénéfices et vendre des produits. La loi, en effet, lui interdisant de distribuer des bénéfices et donc d’agir comme une société commerciale à peine d’être requalifiée de telle société et donc d’être soumise à l’impôt sur les sociétés.

      En outre mais cela n’engage que moi, la philosophie des associations vise à réunir des personnes partageant un objectif commun qui est en l’espèce de promouvoir la botanique. cette promotion impliquant, sur internet, le partage de photos afin que les gens sachant ou non sachant puissent connaitre et développer cette science.
      Tout ça pour dire, qu’en relisant vos messages je ne comprend pas votre problème avec la licence CC. Les gens sont libres de faire ce qu’ils veulent avec leur photos et si ils ont envie de les partager gratuitement c’est leur droit le plus absolu. Le droit d’auteur étant l’accessoire du droit de propriété, toute personne étant libre de jouir de cette dernière tant que cela n’est pas contraire aux lois, ils font ce qu’ils veulent de leur droit d’auteur, duquel, à mon avis, ils s’en contrefichent comme de l’an quarante.

      Dès lors, si vous voulez jouir d’un quelconque droit d’auteur, vous n’avez qu’à essayer de vendre vos photos à tela botanica avec un contrat de vente et tout le tralala et si un jour un préjudice important en découlait pour VOUS, vous demanderez l’application dudit code : car pas d’intérêt pas d’action !

      Bien cordialement,

    5. Je vois que vous ne comprenez pas car vous ne voulez pas comprendre.

      Ces photos ne sont pas seulement en partage (je serais pour), elles ne sont pas seulement gratuites à la consultation (les miennes aussi le sont), elles sont également offertes à tout tiers qui souhaite les utiliser y compris à des fins commerciales, là où dans le commerce il serait normal d’acheter le droit d’utilisation.

      Quant aux associations et à leur fonctionnement, je participe à des associations depuis 40 ans et encore actuellement, et je sais ce que signifie donner, échanger, partager. Je sais aussi que l’activité des associations peut largement déborder et devenir concurrentielle si on y prend garde ; légalement, éventuellement, mais cela n’en pose pas moins un problème moral.

      De plus, il est faux d’affirmer qu’un auteur peut faire ce qu’il veut de sa photo : il peut certes la donner, mais à certaines conditions qui sont prévues par le CPI, conditions qui ne sont pas respectées en l’espèce.

      Enfin, je n’encours pas de diffamation car je n’évoque que des faits, et mes propos sont mesurés.

      Il n’est pas question d’action en justice. Habituellement, menacer de procès, ou proposer d’en faire un comme unique réponse, est un signe de mauvaise foi, ou au minimum qu’on ne cherche pas à comprendre.

      Le problème n’est pas tant que vous fassiez de la concurrence à tel ou tel, mais qu’en utilisant des licences CC, d’origine américaine, vous remettez de fait le droit d’auteur français, qui a été obtenu de haute lutte, par des gens comme Diderot, Beaumarchais ou Voltaire.

      Il ne s’agit donc pas d’un problème personnel mais d’un problème général. Je peux donc être anonyme, ça ne change rien au sujet.

      Note : les CC sont conformes au droit français pour le logiciel, qui comporte diverses exceptions au droit d’auteur. Le CC fonctionne en informatique, ailleurs il pose divers problèmes dont ceux que j’évoque.

      Au final, si vous n’êtes pas des militants du CC, si vous voulez simplement partager, vous n’avez aucune raison de continuer avec des licences CC, car le droit français vous le permet, à quelques conditions.

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