Cette semaine, Julien Perrot, de la revue La Salamandre, grimpe dans la montagne pour nous présenter le mélèze. Découvrez avec quelle passion sincère il nous parle de cet arbre incroyable.
4 commentaires
Commentaire tout à fait dans l’air du temps à grand renfort de « fantastique », « extraordinaire » et surtout de l’invasif « incroyable », qui donne l’impression qu’on vit dans un monde où l’on s’extasie en permanence comme si on était tombé de la dernière pluie.
Moi j’aime les mélèzes en automne pour leur « pluie » d’or, de l’or sur les flancs des montagnes, de l’or sur les routes et les chemins, c’est magnifique ! Ceux qui ne connaissent pas les forêts de mélèze ne peuvent effectivement pas comprendre le superlatif.
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Commentaire tout à fait dans l’air du temps à grand renfort de « fantastique », « extraordinaire » et surtout de l’invasif « incroyable », qui donne l’impression qu’on vit dans un monde où l’on s’extasie en permanence comme si on était tombé de la dernière pluie.
Savoir s’émerveiller des petites choses me paraît justement une qualité rare de nos jours… mais chacun son point de vue.
Beaucoup de poésie dans cet article; j’ai aimé.
Moi j’aime les mélèzes en automne pour leur « pluie » d’or, de l’or sur les flancs des montagnes, de l’or sur les routes et les chemins, c’est magnifique ! Ceux qui ne connaissent pas les forêts de mélèze ne peuvent effectivement pas comprendre le superlatif.