Étude prospective sur les plantes sauvages comestibles

Cueilleurs, guides, producteurs, restaurateurs, herboristes et autres amis des plantes sauvages comestibles, votre expérience et votre avis nous intéressent !

Les plantes sauvages comestibles constituent un sujet de plus en plus prégnant dans notre société. On les retrouve dans les assiettes de grands restaurants tout comme dans les nôtres.

Aujourd’hui, le Conservatoire botanique national de Bailleul souhaite encourager cette démarche. Accompagné par la Communauté de commune de Flandre intérieure et la Région Hauts-de-France dans le cadre du contrat de rayonnement touristique, nous souhaitons développer une offre autour des plantes sauvages comestibles permettant la rencontre des acteurs et actrices de la préservation et de la reconnaissance des plantes sauvages jusqu’à la transformation de celles-ci.

Ainsi, nous nous renseignons sur les différentes démarches existantes (localement et dans toute la France) afin de pouvoir orienter ce projet et éventuellement tisser de nouveaux partenariats.

C’est pour nous aider dans ce travail de prospection que nous vous invitons aujourd’hui à remplir un rapide questionnaire que vous trouverez en cliquant sur ce lien.

Merci d’avance ! N’hésitez pas à le partager autour de vous.

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5 commentaires

  1. Pour info je consomme les plantes sauvages de mon jardin ( car j’ai l’assurance qu’il n’y a pas de traitement) à savoir : pissenlit, mâche sauvage, lampsane, pourpier, cardamine hirsute, menthe, soit sous forme de salade, soit cuite en complément de potage ou alors en pesto pour la cardamine pour assaisonner des pâtes par exemple, soit pour la menthe en tisane ou dans une salade de fruits.

    En fait je repère la plante sauvage qui pousse spontanément ,je la replante au besoin dans une zone « protégée » hors tonte pelouse , une zone de sauvages à consommer.
    J’aimerai bien en connaitre d’autres plantes comestibles et savoir comment les utiliser.

    Certaines comme le plantain lancéolé , bien que comestibles n’est guère fameux cru à mon goût mais peut être que cuisiné autrement celui-ci reviendrait sur ma table?

    1. Bonjour,

      Merci d’avoir pris le temps d’un commentaire. Pour répondre à votre demande d’acquérir plus de connaissances et de compétences autour des plantes sauvages comestibles, je vous invite à vous renseigner des sorties qui existent près de chez vous, ainsi que, des différentes formations en ligne qui existent. N’hésitez pas à nous contacter si vous avez des questions.

      Bien à vous,

      Clémence Henderyckx
      Chargée de communication
      Conservatoire botanique national de Bailleul

    2. Bonjour,
      Il devait pouvoir se cuisiner comme son cousin le plantain majeur , en le coupant en petits morceaux pour le faire revenir dans du beurre et des oignons. Dans une omelette verte, ou une poellée, en matelotte…

  2. Personnellement, j’ai appris à reconnaître des plantes sauvages grâce à des sorties botaniques avec la SEPNB puis j’ai appris à en consommer en utilisant « le régal végétal » et la « cuisine sauvage » de François Couplan, livres qui ont l’avantage d’être très documentés sur le plan botanique. Je cueille dans mon jardin naturel et non pollué qui accueille une certaine biodiversité et dans des endroits très protégés. On peut utiliser des graines vendues ou trouvées dans la nature pour ressemer chez soi. Mais attention il faut aussi repérer les plantes rares ou toxiques, c’est pour cela qu’il est souhaitable d’avoir des références botaniques sûres chez soi et au cours de sorties.

    1. Bonjour,

      Merci de l’intérêt porté à notre travail et pour le retour d’expérience que vous avez pris le temps d’écrire. Nous avons pris note de vos « astuces » pratiques, et des références de qualité que vous avez citées. N’hésitez pas à nous contacter si vous avez des questions.

      Bien à vous,

      Clémence Henderyckx
      Chargée de communication
      Conservatoire botanique national de Bailleul

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