Elizabeth Blackwell ou la botanique comme instrument de libération
« Un couple de cousins
Elizabeth Blackwell voit le jour en 1707 dans une famille de marchands d’Aberdeen et elle reçoit une bonne éducation. Elle épouse en secret son cousin Alexander Blackwell (1709-1747) et ils partent s’installer à Londres. Son mari ouvre une imprimerie sur le Strand, mais ses dettes le conduisent droit à la prison de Highgate où il doit purger une peine de deux ans d’emprisonnement. Elizabeth Blackwell, qui a reçu des leçons de dessin et de peinture, ne se laisse pas abattre : elle décide de tout faire pour réunir la somme qui permettra de libérer son mari.
Elle se tourne vers la botanique. Pour cela, elle réalise quelques dessins de plantes médicinales et va les montrer à Hans Sloane et à Richard Mead qui l’encouragent à continuer et à publier. »
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4 commentaires
Sans ressources.
Parmi toutes ces femmes courageuses et aimantes, une autre, polonaise, et dont on peut voir le superbe herbier au musée de la pharmacie à Cracovie.
😉
Peut on le voir sur Internet ?
voir pour une française
Tremblain, M. (2020, 13 Janvier). L’herbier Cauvin et « l’effet Matilda », Consulté sur : https://ams.hypotheses.org/895
Pour que ces illustrations soient accessibles, il ne reste plus qu’à les téléverser sur Wikimedia Commons… On peut télécharger le livre sur Archive.org, ou visionner les illustrations sur Plant Illustrations : http://www.plantillustrations.org/artist.php?id_artist=1434&mobile=0
L’avantage de Plant Illustrations est qu’ils donnent les noms acceptés aujourd’hui !
Si quelqu’un veut le faire, je peux le conseiller.
Quel est le nom de la Polonaise ?