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Un⋅e chargé⋅e d’étude botaniste pour Calidris

Calidris recherche un.e chargé.e d'étude botaniste en CDI.

Contexte

Calidris réalise des expertises dans le domaine de l’écologie depuis 2007, notamment dans le cadre de projets d’énergies renouvelables et recrute un(e) botaniste pour renforcer son équipe de Montpellier (34).

Missions

Le/la chargé(e) d’étude aura pour principales missions :

  • Expertises flore et habitats naturels voire sur d’autres taxons en fonction de vos compétences sur des sites d’étude situés en France ;
  • Analyse des données récoltées sur le terrain ;
  • Rédaction de rapports de présentation des résultats des études.

Profil recherché

  • Niveau bac+5 ou justification d’une grande expérience de terrain ;
  • Très bonnes compétences en botanique (détermination, phytosociologie) ;
  • Connaissance des techniques d’échantillonnage ;
  • Connaissance d’autres groupes appréciées ;
  • Bonne connaissance de QGIS et des logiciels de bureautique classiques ;
  • Capacités rédactionnelles et de synthèse ;
  • Autonomie et qualité relationnelle ;
  • Permis de conduire indispensable.

Poste et conditions

  • Lieu : Montpellier (34) ;
  • Période : CDI ;
  • Rémunération selon expérience et compétences en fonction de la grille de salaire ;
  • Des déplacements très réguliers sont à prévoir ;
  • Poste à pourvoir à partir de mars 2022.

Modalités de candidature

Lettre de motivation et CV à envoyer à recrutement@calidris.fr

Contacts : Gaétan Barguil, directeur adjoint – Bertrand Delprat, gérant – Tél. 02 51 11 35 90

2 commentaires

  1. Calidris, comme Nymphalys, Encis et consorts, travaille essentiellement avec les affairistes éoliens. Tout le monde doit gagner sa vie, certes, mais il convient de lire les « expertises » rédigées par ces bureaux d’études, qui sont tout sauf innocents. Ils minimisent le nombre d’espèces protégées sur ZIP, AEI et AER, inventent des catégories inexistantes dans la nomenclature officielle, comme « espèces potentielles ». Moins d’espèces donc moins d’impacts donc plus d’éoliennes !!! Les inventaires ne tiennent de surcroît jamais compte des espèces mentionnées sur « faune.nature.org », qui sont OPPOSABLES aux « développeurs »éoliens. « Développeur » signifie constituer et finaliser le dossier, obtenir les autorisations pour REVENDRE le projet à un INVESTISSEUR, société d’assurances comme Talanx, fonds d’investissement hyper-capitaliste comme KGAL, en faisant un super bénéfice. Donc, jeunes écobiologues, sachez où vous mettez les pieds ! Il vous faudra oublier quelques principes moraux et ne pas citer la loutre rencontrée, surtout pas la succise et son Damier et encore moins citer la ZNIEFF dans la demande de défrichement…Moins on en sait, mieux on se porte.

    1. Je ne peux témoigner que des missions qui m’ont été confiées et de ce que j’en ai constaté.
      Dans certaines de ces missions, j’avais 2 jours par ZNIEFF pour faire la réactualisation de l’inventaire floristique.
      Il s’agissait de massifs montagneux, c’est vous dire si les inventaires pouvaient être exhaustifs !
      Les études sont généralement sous-vendues et cela dure depuis au moins 25 ans.
      Il est très injuste d’accuser en particulier les chargés d’études de se vendre au grand capital et d’en être conscients.
      Certains chargés d’études ont parfois mis leur santé en danger pour tenir en terrain difficile et/ou accidenté le rythme d’avancement de cartographie imposé par le budget dont on les a dotés pour cette mission.
      On leur demande d’être à la fois rapide et précis, certain(e)s se sont vu(e)s reprocher une faute grave en cas d’oubli par exemple d’une micro-zone humide.

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