L’espèce végétale de la semaine #12 Plantain lancéolé (Plantago lanceolata)

Chaque semaine, sur la page Actualités de Tela Botanica, vous trouverez un post créé par l'association Gentiana sur une espèce de la flore sauvage urbaine. Chaque espèce mise en avant est observable dans le cadre du programme de sciences participatives Sauvages de ma rue.

Le Plantain lancéolé (Plantago lanceolata)

Pour la 12ème semaine,  nous vous présentons le Plantain lancéolé (Plantago lanceolata). Elle est reconnaissable grâce à ses feuilles en fer de lance.

Plantago lanceolata description par Gentiana

Vous pouvez retrouver l’image en plus haute qualité en cliquant sur ce lien : Plantago lanceolata

Participez à Sauvages de ma rue

Et pourquoi ne pas participer au programme Sauvages de ma rue ?

Porté par Tela Botanica et le Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN), Sauvages de ma rue vous invite à dresser une liste des espèces de la flore sauvage rencontrées dans les rues. Les données récoltées sont ensuite mises en ligne et sont accessibles à tous.

Gentiana, société botanique dauphinoise, Dominique Villars, vous propose cette année des sorties et des formations Sauvages de ma rue. Votre groupe passionné de botanique pourra aussi devenir un groupe local relais isérois du programme tout en étant accompagné par Gentiana.

Pour en savoir plus sur Sauvages de ma rue, vous pouvez vous rendre sur le site de Gentiana et sur celui de Tela Botanica.

En avril, retrouvez Sauvages de ma rue et Gentiana à Grenoble ! (voir l’article ci-dessous)

À la semaine prochaine !

4 commentaires

  1. Je connais bien cette plante qui a une vertu particulière…
    Si vous vous faite piquer par une guêpe ou un bourdon par exemple, pour enlever la douleur, il vous suffit de cueillir une feuille de ce plantain lancéolé (c’est une plante que l’on trouve facilement partout) et de la malaxer entre vos doigts. Ensuite étendez ce « jus » sur la piqure, la douleur disparaitra dans les 30 secondes….

  2. Il serait important de noter aussi les vertus des plantes présentées. Cela sensibiliserait mieux les gens à l’intérêt de préserver ces plantes souvent considérées comme « mauvaises herbes ».

Répondre à Anne-Marie Machut Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.