Le Lierre terrestre

Je regarde toujours avec intérêt l'espèce végétale de la semaine. On y apprend souvent des petits détails qui me sont inconnus. De mon côté j'ai réalisé ce que j'appelle un herbier photographique qui peut venir la compéter. Voici par exemple le lierre terrestre paru récemment sur Tela Botanica.

C’est une plante parmi les 250 et plus de mon environnement maubeugeois (remparts et bords de Sambre) qui sont mis sous cette forme. On retrouve à peu près toutes celles présentées dans ce chapitre. Les photos de chaque plante sont réparties en une ou deux planches, rarement trois. J’essaie toujours de la représenter dans tous ses états (en boutons, en fleurs et à graines) avec de nombreux détails. Voilà donc une petite idée de ma collection.

Lierre terrestre 1
Lierre terrestre 2
Lierre terrestre 3

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6 commentaires

  1. Les feuilles de ce lierre terrestre seront les bienvenues dans une salade composée de plantes sauvages avec une saveur agréable mais très marquée, un peu comme celle des boutons floraux de marguerites, donc à introduire en quantité limitée sous peine qu’elles deviennent écœurantes.

  2. Je laisse le lierre terrestre (avec quelques autres espèces de sous-bois frais et naturellement bien pourvus en éléments minéraux) dans la partie de mon jardin où j’ai quelques fougères et plantes alliées en culture. Il gaine bien mes Dyopteris/ Asplenium, contribue à maintenir la fraîcheur à la surface du sol, tamise doucement la lumière (je le laisse autour d’un pied d’Oreopteris, qui parvient à se maintenir hors de biotope montagnard. Et c’est une jolie plante avec de très belles fleurs. Merci à J. Jacqva.

  3. A sa place dans un jardin d’ornement. Et particulièrement c’est une tapissante très coriace résistant à toutes les déprédations pour orner un pied d’arbre de rue dans le cadre de la végétalisation citoyenne.
    Attention toutefois, elle vous étrangle ajuga reptens .

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