Quelques nouvelles de Lichens GO!

Le programme Lichens GO! fait actuellement l'objet d'une étude visant à améliorer l'interprétation des données et à faciliter le travail des observateurs sur le terrain. Nous présentons ici les principaux résultats de cette étude, ainsi que les pistes d'évolution de Lichens GO!
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Bonjour à toutes et tous,

Le programme Lichens GO! va bientôt évoluer !
Suite à plusieurs tests menés notamment dans le cadre du stage de Hugo Counoy (UCLouvain, Belgique), plusieurs biais du protocole ont été évalués afin de mieux interpréter les données et de proposer des adaptations de la clé d’identification. En particulier, nous avons évalué :

  1. l’influence des simplifications du protocole par rapport au protocole employé par les lichénologues : diminution du nombre d’arbres, de faces et du nombre d’espèces reprises dans la clé.
  2. l’impact de la distance entre les arbres (et de l’environnement).
  3. les erreurs les plus fréquemment commises par les observateurs néophytes, et les éventuelles difficultés rencontrées sur le terrain.

Pour plus de détails, nous vous invitons à consulter ce résumé de 4 pages qui passe en revue les principaux résultats. Évaluation des performance du protocole Lichens GO!

Pour les plus curieux, voici également le rapport de stage de Hugo (qui concerne surtout les points 2 et 3).

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Bonne semaine !

L’équipe Lichens GO!

1 commentaire

  1. Je pense que le système proposé était une utopie, les « spécialistes » ont déjà bien du mal à s’y retrouver, alors pour ce qui concerne les néophytes et les enfants… Quand à diminuer le nombre d’espèces à observer il faut admettre que l’on diminue l’intérêt des observations et que les résultats exploitables vont diminuer et même tendre à la fin vers zéro… Peut-être une proposition : limiter à une espèce (ou deux) bien reconnaissable et surtout indicatrice d’un niveau de pollution et élargir le champ des explorations cela permettrait peut-être de tracer une cartographie des zones plus ou moins polluées et de suivre leur évolution. Au passage cela permettrait peut-être aussi de noter l’abondance des autres espèces de lichens sur différents supports et avec l’aide d’un « expert », ou mieux d’une personne compétente, d’en identifier un certain nombre et même d’en observer des rares dans le milieu prospecté (par exemple l’apparition d’espèces thermophiles qui profitent du réchauffement climatique (indispensable à indiquer dans le projet si on veut avoir des crédits !). Et pourquoi pas, peut-être, de faire naitre des vocations de naturalistes, on peut toujours rêver !

    Cordialement à tous.

    Alain GERAULT

    http://www.lichensmaritimes.org

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