Clés de détermination de la flore du Centre – Val de Loire
À travers ce document, vous découvrirez le première version des clés de détermination de la flore sauvage du Centre – Val de Loire, patiemment rédigées et illustrées depuis 20 ans. Parfait complément de l’Atlas de la flore sauvage du Centre – Val de Loire, ces clés de détermination seront régulièrement mises à jour et versionnées. A noter qu’elles sont également pertinentes à l’échelle du Bassin parisien pour la grande majorité. En espérant que ce document vous aidera dans votre pratique ou votre découverte de la flore sauvage de la région.
Résumé sur hal.science
Titre de l'ouvrage : Clés de détermination de la flore du Centre - Val de Loire.
Auteur : Jordane Cordier
Conservatoire botanique national du Bassin parisien; Muséum national d'Histoire naturelle. Paris. 2025.
824 p.
Prix indicatif : gratuit - Licence Ouverte - etalab
1 commentaire
Un avantage par rapport à d’autres est que cette référence n’est pas payante ; et des photos (mais sans échelle) plutôt que des dessins ; toutefois, il faut un équipement internet et informatique conséquent (près de 200 MO si je ne me trompe pas). Sur le contenu, je vais reprendre un sujet d’échange qui a fait plouf sur Anjou-Bota voici quelques jours. Il était question de confusions entre taxons proches et de la difficulté subséquente à gérer les bases de données sans référence de détermination.
Pour continuer sur Poa infirma et les risques de confusions récentes (cf message …), dans l’ouvrage en ligne « clés de détermination… » indiqué par le Conservatoire Botanique National de Brest en bas de ce message ; la clé p218 ne prend pas non plus en compte les protologues et types nomenclaturaux, ni les savoirs habituels, et les photos p219 montrent diverses confusions : la glume supérieure a le dos droit pour le « Poa infirma » au lieu d’avoir sa moitié inférieure arquée vers l’extérieur (par contre état arqué vers l’extérieur bien visible sur la photo « Poa annua » à l’épillet en bas à gauche -au lieu d’être arqué vers l’intérieur- alors que cette photo devrait être celle de Poa infirma) et l’apex n’est pas arrondi (pas net) ; je ne sais pas de quelle espèce il s’agit mais pas de Poa infirma. Par ailleurs les descriptions sont souvent confuses pour les inflorescences en général, de même que pour l’appareil végétatif où des notions de base font l’objet de confusions ; ainsi Festuca p196 n°4, il y a le choix entre « Racines non ou très courtement rhizomateuses » vs « Racines rhizomateuses +- développées » et bien d’autres confusions pires que celles que j’ai dénoncées dans un chapitre introductif au livre « Festuca de France » (1999) qui tombait lui-même dedans comme cela avait été relevé dans la note de lecture correspondante de J Lambinon.