La lettre annuelle Sauvages de ma rue 2024

L’équipe de Sauvages de ma rue est heureuse de vous présenter sa lettre annuelle 2024. Découvrez les chiffres clés de ce programme consacré à la flore urbaine, les résultats de 2024 ainsi que les faits marquants de l’année. Bonne lecture à toutes et à tous !
Des espèces observées dans le cadre de Sauvages de ma rue
Des espèces observées dans le cadre de Sauvages de ma rue

Le programme Sauvages de ma rue

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Sauvages de ma rue est un programme de sciences participatives dédié à l’observation et à l’étude de la biodiversité végétale en milieu urbain. L’objectif du programme est de mobiliser la communauté locale pour documenter la présence des plantes sauvages dans les espaces urbains.

Les participants, souvent des citoyens passionnés de nature, sont encouragés à observer, identifier et signaler les plantes sauvages qu’ils trouvent dans leur quartier, rue ou parc selon un protocole établi. Ces observations sont ensuite compilées dans une base de données, permettant aux scientifiques, chercheurs et amateurs de nature de mieux comprendre la dynamique de la flore urbaine.

Aperçu de la lettre

Curieux de savoir quelles espèces ont été les plus observées en 2024 ? De découvrir quelles villes se sont montrées les plus actives ou encore d’explorer les nouveaux outils pédagogiques du programme ? Tout cela vous attend dans notre lettre annuelle !

Vous y trouverez également les résultats des analyses sur les données du programme.

Consultez la lettre directement en PDF ou téléchargez-la ci-dessous. Pour suivre toutes les nouveautés de Sauvages de ma rue, pensez à rejoindre le groupe Sauvages et à vous abonner au forum !

Un programme vivant

Un immense merci à toutes celles et ceux qui, par leurs observations font vivre et grandir le programme Sauvages de ma rue. Que vous soyez observateurs régulier ou participant d’un jour votre contribution est précieuse. Grâce à vous, la connaissance des plantes sauvages en ville progresse chaque année, et le lien entre science et citoyen·se renforce un peu plus. Merci d’être à nos côtés dans cette belle aventure collective !

5 commentaires

  1. Dans ce top 10, nous trouvons 2 espèces qui ne devraient pas être là ! En effet, Oxalis corniculata et Erigeron canadensis sont des espèces introduites.

    Je trouve que l’emploie du terme : « 2 espèces qui ne devraient pas être là » est mal venu !
    VJ

  2. Bonjour,

    Merci pour cette présentation des Sauvageonnes urbaines. Il faut une sacrée capacité d’adaptation pour cohabiter avec Homo sapiens !
    Si on laisse de côté nos approches environnementales et si on prend le point de vue des plantes, on peut se demander comment réussir à survivre dans un milieu artificiel dominé par un super Exotique Envahissant !
    On peut l’attendrir, l’avoir au sentiment ( Si, si ! Sapiens peut être sentimental quand il ne se bat pas !) et lui plaire avec de jolies couleurs : j’ai remarqué que les Coquelicots et les Marguerites sont très bien vus et bien plus respectés que le Crepis capillaris. Ils symbolisent quelque chose. Le symbole est très important chez Sapiens.
    On peut aussi développer des réponses liées à ses pratiques, par exemple, pour les Pissenlits, fleurir en février quand les tondeuses sont encore au garage et n’ont pas commencé à décapiter les Pâquerettes.
    On peut aussi s’infiltrer dans ses nouveaux modes de gestion, par exemple le fauchage tardif : on peut alors fleurir et fructifier tranquillement, comme l’Ophrys apifera qui est devenue très commune en pelouse urbaine (et en plus, c’est une Orchidée : résultat admiratif garanti !).
    On peut se glisser dans l’ombre et rechercher les endroits obscurs, là où Sapiens traîne moins ses guêtres comme ce Pissenlit baroque que j’ai eu l’occasion de présenter ici et qui fleurit à l’abri du soleil, en compagnie d’une autre créature de la pénombre, la Chélidoine, elle aussi pas très prisée.
    On peut également mettre à profit ses nouvelles techniques de déherbage. De nos jours, l’utilisation du lance-flamme (déherbeur thermique) est écologique. Mais voilà, il est moins efficace sur certaines plantes à rosette, comme l’Erodium cicutaire, qui cache son méristème loin des flammes et des regards, au plus profond de sa rosette. En définitive, il y a de plus en plus d’Erodium
    En définitive, pour vivre avec Sapiens, il faut lui coller à la peau ! Il faut, quelque part, le singer. Ne pas chercher à lui résister mais danser avec lui.
    Et quand Sapiens se regarde dans un miroir et qu’il y voit les Exotiques Envahissantes, il ne réalise pas que c’est lui-même qu’il voit !
    Bon nombre d’espèces urbaines ne tiennent pas quand elles sont plongées dans la « vraie vie », loin des villes. En définitive, elles sont fragiles, tout comme Sapiens !

  3. j’ai trouvé très interessante l’idée de l’article sur l’association des plantes et de leur mythologie

    las l’ensemble n’est pas lisible!!
    j’ai eu beau agrandir les réponses , il faut deviner !!

    serait-il possible de renvoyer cette parie de la lettre de façon à ce qu’elle soit lisible.

    1. Bonjour Michèle,
      Vous devez télécharger le pdf. (au bas de l’article de présentation : « lettre annuelle 2025 ») et une fois dans le pdf. cliquer sur Quiz Bota mythe A3 ou A4 en fin d’article.
      Cordialement,
      JPM

  4. Dans le TOP 10 des villes qui recensent le plus, on trouve Olivet (45).
    Située à 6 km au sud d’Orléans, c’est la ville résidentielle des professeurs de la faculté d’Orléans, des cadres hospitaliers du CHR d’Orléans, implantés dans les années 1960 au milieu d’ensembles de grandes tours où cohabitent des centaines d’ethnies différentes.
    Dès le milieu des années 1960, les journaux relatent des émeutes urbaines.
    Les professeurs enseignent ou officient à la Source, mais vivent entre eux dans des quartiers résidentiels à proximité d’un nombre élevé d’espaces verts de qualité : domaine du Donjon, parc du château du Poutyl, espaces boisés et parcs patrimoniaux de la rivière du Loiret bordée de châteaux sur la plus grande partie de son cours.
    Olivet est particulièrement bien doté en équipements sportifs : centre équestre du Donjon, golf de Limères, aviron sur les bords du Loiret.

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