Cultures de maïs OGM en 2007 : Sans loi démocratiquement votée, la seule solution est le moratoire (FNAB)

Communiqué de presse du 15 février 2007:

La Fédération Nationale d’Agriculture Biologique des régions de
France ne peut accepter que des arrêtés, préparés et publiés en
catimini, régissent la coexistence entre cultures OGM et non OGM en
2007. Sans consultation large, sous la pression insistante de
Monsanto et de ses partenaires de la filière OGM, mais surtout sans
débat démocratique à l’Assemblée nationale, un moratoire sur toute
culture de maïs génétiquement modifié est la seule issue possible
pour cette année.

Le Ministère de l’agriculture s’apprêterait à régler la coexistence
OGM – non OGM pour 2007 par arrêté, sans consultation des
représentants des filières sans OGM, et au mépris de tout processus
démocratique. Parmi ces arrêtés, celui concernant le registre de
localisation des parcelles OGM. Monsanto a lancé une grande campagne
auprès des maïsiculteurs pour qu’ils écrivent à D. Bussereau et
plaident pour une localisation la plus floue possible, c’est-à-dire
le département ! Ce comportement, inacceptable, s’il était suivi
d’effet, ne permettrait aucune parade à tous ceux qui refusent toute
trace d’OGM dans leurs récoltes. Mais surtout, le débat démocratique
sur la transposition de la Directive 2001/18 n’aura toujours pas eu
lieu. La seule solution pour 2007 est donc le moratoire sur toute
culture OGM sur notre territoire. La façon de procéder du
gouvernement est irresponsable et conduira de façon certaine à
amplifier la résistance et les destructions des parcelles identifiées OGM. Vu le climat délétère qui s’annonce dans les campagnes, la FNAB
appelle tous les bio à semer un peu de maïs sur leur exploitation :
ils auront ainsi toute légitimité pour demander au maire de leur
commune de prendre des arrêtés contre les cultures d’OGM sur leur
territoire, pour prévenir la contamination de ces maïs biologiques et
d’éventuels troubles à l’ordre public.

La FNAB est partenaire des Etat généraux pour un moratoire sur les
OGM, les 26 et 27 février à Orléans.

Contact presse : Vincent Perrot,
01 43 38 39 48, 06 84 10 43 79
FNAB fnab@fnab.org

Information transmise via la Garance Voyageuse.

16 commentaires

  1. Bonne réaction de la FNAB -mais c’est la moindre des choses – devant ce nouveau deni de démocratie du gouvernement. Nous sommes en plein scandale !
    Ceux qui croyaient, un peu naïvement, qu’un débat citoyen restait possible par un passage à l’Assemblée tombent encore d’une marche . Le point positif c’est que cela devrait conduire à éclaircir les choses et à radicaliser les positions d’un grand nombre de paysans « bio » qui ne soutenaient que très timidement les actions des faucheurs ou même n’hésitaient pas à les condamner !…Aujourd’hui les bio ne peuvent plus se faire d’illusions et n’ont plus d’alternative autre que celle de passer à l’action ou de….disparaitre. Oui, le moratoire est en effet la seule solution mais pour obtenir ce moratoire il faudra peser très lourd dans le rapport de force.
    Les 26 et 27 fev 32 faucheurs passerons devant le Tribunal d’Orleans pour avoir fauché le 14 Aout dernier une parcelle d’essai de maïs Monsanto. Conjointement à ce procès très important dans le contexte actuel, se tiendront les Etats Généraux du moratoire. Vous savez ce qu’il vous reste à faire…

    1. Bonjour,
      je recherche des infos « objectives »; idéalement une sorte de synthèse sur cette question, car jusqu’alors, les points de vue me paraissent trop partials.
      Avez-vous un lien ou une lecture à me suggérer ?
      Cordialement

    2. Moi aussi j’ai longtemps cherché des informations objectives, et je me suis retrouvé bombardé d’articles de littérature « scientifique primaire » que je suis incapable d’évaluer. Toute l’histoire des rats qui ont eu des tumeurs repose par exemple sur l’interprétation de résultats que seuls des spécialistes peuvent faire. Alors quand des gens qui s’affichent comme spécialistes s’opposent entre eux, que faire ?

      Par contre, ce qu’on peut faire, c’est exercer son bon sens, ou plutôt son sens logique, et repérer les discours qui partent de prétextes scientifiques pour nous balancer toute une sauce idéologique.

      Autre chose, on peut, quand on connaît des scientifiques, évaluer si on peut leur faire confiance, et s’ils acceptent de répondre aux questions qu’on leur pose.

      A toutes fins utiles, je m’apprête à lire le livre suivant : Plantes transgéniques : faits et enjeux, par André Gallais et Agnès Ricroch. Ed. Quae. 2006. Prix 34,00 €
      ISBN-10 2759200019
      ISBN-13 978-2-7592-0001-6
      Le premier auteur a été prof de génétique et amélioration des plantes à l’Agro de Paris. Je le connais et je pense qu’il est d’une grande rigueur intellectuelle, et très compétent.

      Cordialement,

  2. Il est effectivement très très dommageable que la solution adoptée pour transposer la directive européenne soit un arrêté mais un moratoire ne résoudrait rien. Quoi qu’on puisse en penser, les maïs BT présentent certains avantages en matière de lutte contre la pyrale et la sésamie et, de manière indirecte, de lutte contre les mycotoxines (qui sont en train de devenir un problème agronomique important).

    Je ne suis pas certain du tout que les conditions d’un débat démocratique serein sur les OGM soit réunies. Il y a beaucoup trop de pression médiatique et politiques exercées de chaque côté pour que celui-ci puisse s’exercer.

    Toutefois il n’est pas normal non plus que les agriculteurs biologiques puissent pâtir de la contamination éventuelle de leurs maïs par des maïs OGM.

    Quelqu’un a-t-il des infos plus précises sur ce que contiendrait l’arrêté?

    Cordialement,

    1. Péher29
      En quoi le maïs Bt est-il une parade indirecte aux mycotoxines? Question de vecteur de dissémination des moisissures?
      Merci d’avance

    2. Peut importe que le maïs ogm soit bon contre ceci ou cela, ce qui compte c’est qu’il modifie les organes des rats qui en mangent donc les notres quand nous en mangerons.Voir la video suivante http://video.google.fr/videoplay?docid=-8996055986353195886
      De plus le maïs ogm encourage le doublement ou le triplement des doses d’herbicide puisque lui, résiste; les sols, en Argentine entre autres, sont saturés de polluants. et les cultures voisines de maraichage, anéanties. Sans parler de la contamination de toutes les cultures de maïs bio ou non au Canada en Espagne, aux USA…
      Alors parler des bienfaits des OGM…
      Danisa.

    3. Ce qui compte c’est que:

      1. La vidéo a été diffusée en novembre 2005
      2. Le président du CGB a opposé en démenti a la manière dont les infos ont été présentée dans ce film
      3. Après 5 avis (échanges-retours entre la CGB et Monsanto) la CGB a conclu a l’absence de risque
      4. Le rapport n’est pas confidentiel, il a été publié dans un journal reviewé (j’attends ce rapport, je devrais le recevoir prochainemen)
      5. La vidéo qui circule est donc un hoax
      6. Les doses d’herbicide n’ont pas augmenté en raison de l’utilisation de Maïs ou de soja résistant aux herbicides (qui entre parenthèse n’a rien ) voir avec un Maïs BT). Il y a des chiffres qui existent, la moindre des choses est de se renseigner
      7. Il faut arrêter de parler des OGM en général, il faut raisonner au cas par cas pour se prononcer sur l’intérêt et les risques des différents type d’OGM
      8. Les règles de coexistence sont destinées à limiter les problèmes de contamination justement

      Cordialement,

      Christophe

    4. La vidéo n’est pas un hoax, elle a été diffusée sur Canal plus en 2005. Ce n’est pas un hoax puisque les expérimentations de Monsanto existent bel et bien, tu vas en recevoir la publication. Personnellement, je fais davantage confiance à Greenpeace qui n’a aucun intérêt financier à défendre qu’à la CGB, dépendante du ministère de l’agriculture, lui-même sous influence -au minimum- des lobbies agro-alimentaires. Le directeur de la CGB, filmé dans la vidéo est incapable d’affirmer avec certitude que le maîs ogm est inoffensif et reconnait que dans 2,5,10 ans peut-être on verra les conséquences de la consommation de maïs ogm sur notre santé.
      J’ai fait une erreur surla culture, en effet. En Argentine, il s’agit de soja ogm, non de maïs et sur une autre émission passée sur Arte on voit que les doses d’herbicide sont passées de 2 l/hectare à 3,5 l/hectare à cause de mauvaises herbes devenues tolérantes:

      http://www.dailymotion.com/video/xrn35_ogm-lhorreur-reveillez-vous-avant

      En Chine et aux USA problèmes de résistance, le coton BT est attaqué par des ravageurs qui ne craignent plus le BT, donc les rendements baissent et la quantité de produits chimiques utilisés a été multipliée par 15 et même 20. Il en sera de même pour le maïs BT. Aux USA apparition de mauvaises herbes résistantes au Round-up, d’où augmentation des coûts; le ministère de l’Agriculture « l’adoption du maïs BT a eu une incidence négative sur les recettes des exploitations spécialisées dans le maïs » (avril 2006).
      Il faut s’informer, en effet, et voir que les cultures d’ogm connaissent des problèmes partout dans le monde et on comprend mieux le forcing de Monsanto sur l’Europe où il pourrait encore faire de juteux bénéfices. Quand au cadrage des cultures ogm en plein champ, il suffit de voir au Mexique la pollution génétique du maïs natif avec malformations et dégénérescence,la contamination des cultures bio et traditionnelles en Espagne, Canada et USA pour ne plus se faire d’illusions sur le contrôle des pollens! Danisa.

    5. Je n’ai jamais dit que le rapport n’existe pas, puisque j’ai pu lire le premier avis de la CGB (ils sont en ligne)

      Il faudrait aussi que vous vous renseigniez un minimum sur le fonctionnement des autorisations pour les cultures OGM : la CGB n’a qu’un avis consultatif (tout comme l’AFSSA) d’ailleurs.
      Elle n’est pas plus à la solde du ministère de l’agriculture.

      Donc, son indépendance ne se remet pas en cause. Quant aux déclarations du président de la CGB dans la vidéo, il y a lui même opposé un démenti formel : son témoignage a été coupé de telle manière que ses propos sont déformés.

      IL EST HONTEUX ET SCANDALEUX QUE, QUAND QUELQU’UN EMET DES RESERVES SUR UN OGM (ce qu’il a bien fait AU DEBUT, puisqu’il y a eu 5 avis et demandes d’informations complémentaires avant d’accepter cet OGM), SES PROPOS SOIENT ENSUITE DEFORMES.

      En résumé, si on ne dit rien, on n’a pas fait des études et on passe pour un charlatan et si on l’ouvre, on s’arrange pour déforme vos propos. C’est absolument scandaleux et honteux.

      J’en ai plus vraiment marre : le débat qui pourrai être intéressant (et il est nécessaire pour certains points pour lesquelles la règlementation est insuffisante) est absolument impossible. Certaines personnes sont convaincues de manière religieuse de l’inutilité/toxicité des OGM, opposent des arguments d’une mauvaise foi ahurissante (théorie du complot/ non-indépendance des experts dès que les résultats ne sont pas ceux qu’ils veulent) et accusent ensuite les autres d’empêcher le débat.

      Les quelques personnes du site qui me connaissent personnellement et avec qui j’ai pu discuter du sujet (car j’en discute fréquemment) connaissent ma position sur les OGM. Elle est neutre/favorable dans certains cas (PAS POUR TOUS LES OGM!) mais c’est vraiment désespérant et hallucinant de ne pas pouvoir en discuter sereinement sur les réseaux naturalistes.

      De toute façon, les OGM arriveront en France (en fait on en mange déjà). Le problème c’est que le pseudo-débat qui est autour empêche le vrai à savoir permettre aux gens de manger ce qu’ils veulent (traçabilité des filières via un etiquetage correct, notamment pour la viande et également coexistence des filières). Mais tant que personne ne voudra dépasser le stade de la querelle de cour d’école maternelle, et bien ce vrai problème ne sera jamais réglé.

      Je vais finir par attendre avec impatience que les problèmes de mycotoxine deviennent vraiment grave pour que certaines personnes prennent conscience que DANS CERTAINS CAS, les biotechnologies peuvent avoir un avantage.

      Christophe (blasé et en colère, certain que son message sera mal interprété ou déformé, une fois encore)

    6. Je trouve dommage que tu t’énerves, mais çà ne veut pas dire que tu aies raison.
      Tu te contentes de croire en l’indépendance des « experts », or ce sont des « experts » qui ont affirmé que le nuage de Tchernobyl s’était arrêté à la frontière; on a mis en avant d’autres « experts » pour affirmer l’innocuité des farines animales ou de l’amiante.
      Je comprends que tu préfères parler entre gens sérieux et responsables (les réseaux naturalistes) qu’avec le commun des citoyens qui eux, se posent des questions et se permettent de demander l’application du principe de précaution – oui à la recherche sur les OGM mais en milieu confiné.

      Mais surtout, tu ne réponds à aucun des arguments avancés par des scientifiques sérieux et responsables, eux aussi:
      – augmentation des doses de pesticides alors que les sols sont déjà saturés
      – apparition d’insectes ou de plantes résistants aux gènes insecticides ou herbicides
      – dissémination des pollens OGM à plus d’1 km
      – biodiversité menacée
      – disparition des cultures bio
      – modification des organes des rats nourris aux OGM (diminution des enzymes digestives, lésions aux reins, foie, sang -albumine et globuline affectés-, diminution des défenses immunitaires)
      Danisa.

    7. Je ne sais pas ce que veux dire sol saturé de pesticides. Mais il n’y a pas augmentation des doses de pesticides dans tous les cas. Et surtout, il faut aussi voir la toxicité des pesticides en question : le glyphosate est moins toxique que certains autres pesticides même si la dose employée (0,75 kg/ha de mémoire) est plus élevée que pour d’autres herbicides sélectifs

      Je n’ai jamais nié l’apparition de résistance (même si encore aucune n’a été constatée pour le moment sur le maïs Bt) : le problème est le même que pour un pesticide « classique »

      Dissémination des pollens à plus d’un km. C’est effectivement un problème pour certaines cultures (colza et maïs principalement) qui peut empêcher la coexistence dans certains cas. Pour le maïs il y a effectivement des études (c’est une amie qui les a faites) modélisant la dispersion du pollen sous plusieurs hypothèses et il peut y avoir des problèmes importants. Mais des parades existent (notamment en jouant sur le décalage de floraison des maïs 3-4 j peuvent considérablement limiter le problème). Pour le soja en revanche pas de problèmes en France (espèce autogame)
      Biodiversité menacée : pouvez-vous détailler s’il vous plaît. Les principaux problèmes de réduction de la biodiversité cultivée ne sont pas imputables aux OGM
      Disparition des cultures bio : cela dépend des règles de coexistence. Je précise également qu’à mon sens, c’est aux OGM de s’adapter aux cultures déjà présente et pas l’inverse
      Dernier point : pas prouvé, la CGB ayant conclut à l’absence de risques

      Voilà, quand les questions tournent sur des points précis, le dialogue est possible et intéressant.

      Je précise que j’estime que l’étiquetage produit en France est insuffisant (en ce qui concerne les produits animaux, vu qu’il n’y en a toujours pas) : il est impératif de laisser le choix aux consommateurs et d’assurer une bonne traçabilité des filières

      Je comprends tout à fait qu’il y ait (à raison) un problème du grand public avec l’expertise en France, simplement il ne faut pas crier au loup tout le temps, parce qu’on ne progresse pas si on met en doute tout ce qui est affirmé (surtout que le commun des mortels n’a ni la compétence ni la formation pour tout juger par soi-même).

      Quant à la recherche en milieu confiné, c’est une phase importante, mais il y a un moment où il faut passer aux essais de plein champ. Or ceux ci sont systématiquement détruits par les « Faucheurs Volontaires » et ensuite, on demande des études complémentaires. Vous conviendrez qu’il y a un problème!

      Bien cordialement,

    8. Je crois que çà devient inutile de te répondre, car tu refuses toutes les évidences fournies. Internet est un outil extraordinaire qui donne de multiples sources d’informations, libres d’accès. Celui qui veut, peut s’informer et ensuite porter un jugement. Contrairement à toi, je pense que le citoyen de base (dont je fais partie) a le droit de donner son avis sur ce qui concerne son avenir et est capable de faire fonctionner sa jugeotte et son bon sens, plus facilement peut-être que certains scientifiques, prisonniers de leurs certitudes et de leur foi en la science. Or « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Danisa.

    9. Désolé, mais je ne vois pas où sont les « évidences » que vous apportez… L’histoire de la diffusion des pollens par exemple me fait rigoler, car les naturalistes savent depuis longtemps que les pollens (surtout anémophiles) peuvent voyager sur de longues distances. Paradoxalement, les OGM ont simplement prouvé scientifiquement ce fait, parce que le transgène sert de marqueur et permet d’être sûr que le pollen vient bien de tel champ et pas d’un autre. Le problème (éventuel) n’est d’ailleurs pas que le pollen puisse voyager (il est fait pour çà, et c’est une chose triviale de le rappeler), mais ce que va devenir le transgène dans la population où il est introduit. Comme les transgènes sont presque tous des gènes d’intérêt pour la forme cultivée, mais pas du tout intéressants pour la forme sauvage, les risques sont à mon avis très faibles.

      Quant à la coexistence avec les cultures bio, il est clair que plus on mettra la barre haut, plus elle sera impossible à atteindre. Ceux qui poussent à cela affichent clairement que ce qui les intéresse, c’est d’empêcher les cultures OGM, pas de favoriser les cultures bio. A titre de comparaison, si les végétariens se mettaient à être aussi dogmatiques que les bio ou anti-OGM, ils ne pourraient plus manger grand chose, car dans tout produit alimentaire, il y a des traces non négligeables d’insectes, de poils de souris ou autres produits animaux impossibles à éliminer des silos et greniers ! C’est prévu explicitement dans les normes de qualité. Et pourtant on fait avec.

      Pour ce qui est de l’apparition d’insectes ou de plantes résistantes, c’est quelque chose de bien connu, et bien avant les OGM. Cà devrait d’ailleurs vous réjouir, puisque ces résistances rendent l’OGM inutilisable !

      Enfin pour la biodiversité, je n’ai toujours pas compris le rapport. Pour moi, elle a toujours été à trouver dans les milieux naturels, pas dans les champs.

    10. merci danisa de savoir quoi repondre a ce christophe qui pense avoir la science infuse et nous ecraserais comme nous devrions ecraser les champs ogm, j’espère que la frande va pouvoir se reveiller avant qu’il ne soit trop tard encore merci betty

  3. Concernant cette demande de moratoire, je tiens à vous informer, qu’elle est désormais en ligne, avec différents liens pdf qui expliquent la démarche.Vous pourrez y accéder en cliquant sur le lien suivant :
    http://www.moratoireogm.fr/spip.php?article1

    Si vous souhaitez soutenir cette demande de moratoire, il vous suffit de remplir vos identifiants et un mail de confirmation validera votre soutien.

    Merci de votre future collaboration !

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