Menthe des cerfs

A la découverte de la menthe des cerfs en Languedoc-Roussillon

Participez à la Mission menthe !

Une mission, plusieurs étapes !

1 > Préparez votre sortie !

2 > Partez sur le terrain !

3 > Saisissez vos données !

Objectif de la campagne

Observer Mentha cervina L. pendant les mois de septembre et d’octobre afin de collecter des données permettant une meilleure connaissance de sa répartition et faciliter sa protection.

Contexte :

L’État mène à travers les directions régionales de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL) ses différentes politiques de préservation de la biodiversité. Pour être efficaces, celles-ci doivent s’appuyer sur une connaissance des enjeux de terrain et s’appuyer sur des observations naturalistes. Dans le cadre de sa stratégie régionale d’acquisition de connaissances, le SINP (Système d’information sur la nature et les paysages) Languedoc-Roussillon précise une liste de taxons pour lesquels nous manquons de données d’observations de terrain récentes. Mentha cervina fait parti de cette liste. C’est dans ce cadre que Tela Botanica lance cette mission d’observations de terrain.

Mentha cervina

Etape 1 > Préparez votre sortie !

Apprenez à la reconnaître

La menthe des cerfs – Mentha cervina L.
Étymologie du genre : du latin mentha.
Synonymie : Preslia cervina (L.) Fresen.
Famille : Lamiaceae

Description simplifiée

Cette petite plante herbacée à forte odeur de menthe épicée tapisse des sols temporairement inondés. Ces tiges se dressent sur quelques dizaines de centimètres et portent des cymes de fleurs denses (en forme de sphère) vers le sommet de la tige. Ses petites feuilles vertes linéaires et ses quatre pétales entourés de quatre sépales permettent de la différencier des autres menthes.
Ce critère est important, n’oubliez pas de prendre des photos en gros plan de la fleur et du calice (ensemble des sépales).

Où la trouver ?

Cette petite menthe se trouve sur les bords des cours d’eau et mares temporaires, parfois sur les bords d’étangs, sur des substrats temporairement inondés. En France, on la trouve sur le pourtour méditerranéen.

Quelles sont ses caractéristiques ?

  • Au printemps, on observe Mentha cervina dans des mares ou cours d’eau temporaires (niveau d’eau > 50 cm en hiver). Les tiges printanières sont normalement dressées dans l’eau et portent des feuilles lancéolées (= à marges convexes) atteignant couramment 50 x 8 mm, en paires espacées.
  • A l’automne, on observe la menthe des cerfs au bord des points d’eau qui s’assèchent.
  • Elle est formée de nombreuses tiges qui rampent et tapissent le sol. Ces tiges peuvent être confondues avec des racines, mais si vous les regardez de près elles portent de toutes petites feuilles réduites à des écailles. Ce sont donc bien des tiges qui sont appelées rhizomes.
  • Ces rhizomes portent un second type de tiges qui se dressent sur une hauteur de quelques dizaines de centimètres (10-80 cm). Ces tiges érigées portent régulièrement des paires de feuilles linéaires (à marge parallèle) qui se font face (feuilles opposées) et à l’aisselle desquelles se trouvent des rameaux courts portant eux-mêmes de nombreuses petites feuilles. Ces rameaux sont tellement courts qu’on ne perçoit presque pas la tige entre les feuilles.
  • Les feuilles sont très étroites et directement reliées à la tige sans pétiole (sessile). Elles sont longues d’un demi à trois centimètres et sont larges de 1,5 à 3 mm.
  • Vers le sommet de la tige érigée se trouve une ou plusieurs (jusqu’à 8) petites cymes denses (2 cm de diamètre) de fleurs regroupées autour de la tige.
  • Les fleurs sont régulières, de type 4, avec un ensemble de 4 sépales (calice) et de 4 pétales (corolles).
  • La corolle est blanc rosé à rose lilas
  • Le calice est composé de 4 sépales soudés, ce qui la différencie des autres menthes qui ont cinq sépales.

Consultez également sa fiche descriptive sur l’encyclopédie de la Botanique eFlore et sa version vulgarisée, SmartFlore.
Vous pouvez aussi consulter des photos de la menthe des cerfs sur la Galerie PictoFlora.

Quand fleurit-elle ?

On peut observer ses fleurs d’Août à octobre.

Est-elle menacée et protégée ?

Les populations mondiales sont globalement en déclin, et même les populations stables sont généralement vulnérables puisqu’elles se trouvent dans des écosystèmes fragiles.
En France, les populations semblent en déclin, à l’exception de l’Hérault et du Gard où l’on trouve de grandes populations. Cette espèce a disparu de nombreuses stations en plaine de la Crau (Bouches-du-Rhône), des plages de sable du Rhône et des Pyrénées-Orientales.

La principale menace qui pèse sur cette espèce est la destruction d’habitat par les activités humaines. L’artificialisation des terres et les modifications des systèmes hydriques, entre autres, par l’intensification de l’agriculture ou la construction de barrages, réduisent la quantité d’habitats favorables au développement de la menthe des cerfs.

Cette espèce se trouve dans plusieurs listes rouges et est soumise à protection. il vous est donc demandé de prendre le plus grand soin lors de vos herborisations afin de ne pas porter atteinte, ni aux populations de Mentha cervina que vous observerez, ni au milieu dans lequel elle pousse.

> Statut de protection

> Espèce évaluée sur Liste Rouge ou Livre Rouge

Quels sont les usages de la menthe des cerfs ?

Comme la plupart des menthes, la menthe des cerfs est aujourd’hui cultivée pour différentes raisons. Les jardineries la proposent pour l’ornement et ses propriétés gustatives.
Elle est également utilisée en infusion (particulièrement au Portugal) pour ses propriétés médicinales. Des études s’intéressant aux huiles essentielles extraites de la menthe des cerfs ont montré différentes propriétés pouvant être utilisées par des professionnels.
> M.J. Concalves et ses confrères (2007) ont montré que les huiles essentielles extraites des parties aériennes de Mentha cervina, pendant la période végétative comme pendant la période de floraison, pouvaient avoir des propriétés antifongiques. Selon leurs travaux, les huiles essentielles à faible concentration de pulegone pourraient être utilisées comme antifongiques alternatifs dans le traitement de la dermatophytose.
> Au Portugal, Mentha cervina est traditionnellement utilisée pour traiter les troubles digestifs et les inflammations des voies respiratoires. Une équipe de chercheurs, menée par Leandra Rodrigues a cherché à vérifier ces connaissances de la médecine populaire. Ils ont montré les propriétés antibactériennes des huiles essentielles de Mentha cervina et confirmé les usages traditionnels de cette plante.

Etape 2 > Partez sur le terrain !

Pour trouver des endroits où la menthe des cerfs a déjà été repérée , vous pouvez vous aider de la cartographie Flora Data.

> Emportez votre fiche de terrain (PDF, 332 ko) et si nécessaire une flore et une loupe pour vous aider à identifier la plante. Pour bien préparer votre sortie vous pouvez consulter cette fiche pratique.

> Prospectez un ou plusieurs site(s) choisi(s), seul, avec des telabotanistes ou avec le soutien de structures botaniques.

> Ne ramassez pas la plante si vous êtes dans une zone où elle est protégée.

> Notez le maximum d’informations sur la fiche de terrain.

> Pensez à prendre des photos de la plante : port et organes de la plante (selon son stade phénologique : boutons, fleurs, fruits et feuilles)… et en plus des conseils habituels du bon naturaliste, n’oubliez pas de prendre des photos en gros plan de la fleur et du calice (ensemble des sépales). Vos clichés doivent être les plus nets et plus précis que possible.

Etape 3 > Saisissez vos données !

Saisissez vos informations recueillies sur le terrain, dans l’outil de saisie spécifique à cette mission

Cartographie de la menthe des cerfs

Visualisez les observations actuelles et les vôtres sur la cartographie dynamique

Cartographie dynamique de Mentha cervina L. issue de Flora Data

Vous pouvez retrouver toutes les observations de la mission « Menthe des cerfs » en suivant ce lien !

Partenaires

Mission réalisée par Tela Botanica avec le soutien opérationnel du Conservatoire Botanique National méditerranéen de Porquerolles et avec le soutien financier de la Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement de Languedoc-Roussillon.

Photographie du header : Mentha cervina par David Sautet et Hugo Fontes, licence [CC BY SA] via Tela Botanica.

Pavot du pays de Galles

A la découverte du Pavot du pays de Galles en Languedoc-Roussillon

Participez à la Mission Meconopsis !

Une mission, plusieurs étapes !

1 > Préparez votre sortie !

2 > Partez sur le terrain !

3 > Saisissez vos données !

Objectif de la campagne

Observer Papaver cambricum L. pendant les mois de juin et de juillet afin de collecter des données permettant une meilleure connaissance de la répartition et faciliter sa protection.

Contexte :

L’État mène à travers les directions régionales de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL) ses différentes politiques de préservation de la biodiversité. Pour être efficaces, celles-ci doivent s’appuyer sur une connaissance des enjeux de terrain et s’appuyer sur des observations naturalistes. Dans le cadre de sa stratégie régionale d’acquisition de connaissances, le SINP (Système d’information sur la nature et les paysages) Languedoc-Roussillon précise une liste de taxons pour lesquels nous manquons de données d’observations de terrain récentes. Papaver cambricum fait parti de cette liste. C’est dans ce cadre que Tela Botanica lance cette mission d’observations de terrain.

Etape 1 > Préparez votre sortie !

Apprenez à reconnaître Papaver cambricum L.

Le Pavot du pays de Galles est une plante vivace au port dressé. Elle est légèrement velue. A la coupe, elle sécrète un suc laiteux de couleur jaune.
Ses feuilles sont composées. Elles sont légèrement velues et glauques en dessous.
Ses fleurs sont solitaires et portées par un long pédoncule. Les 4 pétales sont d’un jaune souffre intense, ils tombent rapidement avec les 2 sépales. Les bourgeons floraux sont légèrement penchés à maturité.
Les fruits sont des capsules de 15 à 25 mm s’ouvrant par le haut à maturité.

La floraison a lieu de juin à août.

Habitat : Bois et lieux ombragés, dans les Pyrénées et les montagnes du Plateau central jusque dans la Côte-d’Or ; Jura suisse ; Espagne et Grande-Bretagne.

Consultez également sa fiche descriptive sur l’encyclopédie de la Botanique eFlore et sa version vulgarisée, SmartFlore.

Choisissez le(s) site(s) en région Languedoc-Roussillon à prospecter pour observer la plante

Rendez-vous sur les zones prioritaires (en rouge) pour observer ce pavot, mais ne vous limitez pas à ces zones et prospectez ailleurs.

Zones prioritaires pour cette mission

Voir la carte en plein écran

Si vous ne pouvez vous rendre dans les zones prioritaires ce n’est pas grave, toutes les zones nous intéressent !
Pour trouver des endroits où le Pavot du pays de Galles a déjà été repéré , vous pouvez vous aider de la cartographie Flora Data.

Etape 2 > Partez sur le terrain !

> Emportez votre fiche de terrain (PDF, 332 ko) et si nécessaire une flore et une loupe pour vous aider à identifier la plante ainsi que la fiche descriptive (PDF, 1.3Mo).

> Prospectez un ou plusieurs site(s) choisi(s), seul, avec des telabotanistes ou avec le soutien de structures botaniques.

> Notez le maximum d’informations sur la fiche de terrain.

> Pensez à prendre des photos de la plante : port et organes de la plante (selon son stade phénologique : boutons, fleurs, fruits et feuilles)… Vos clichés doivent être les plus nets et plus précis que possible !

Etape 3 > Saisissez vos données !

Saisissez vos informations recueillies sur le terrain, dans l’outil de saisie spécifique à cette mission

Cartographie du Pavot du pays de Galles

Visualisez les observations actuelles et les vôtres sur la cartographie dynamique

Cartographie dynamique de Papaver cambricum L. issue de Flora Data

Vous pouvez retrouver toutes les observations de la mission « Pavot du pays de Galles » en suivant ce lien !

Partenaires

Mission réalisée par Tela Botanica avec le soutien opérationnel du Conservatoire Botanique National méditerranéen de Porquerolles et avec le soutien financier de la Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement de Languedoc-Roussillon.

Photographie du header : Meconopsis cambrica par Jean-Jacques Houdré, Florent Beck et Alain Létrange , licence [CC BY SA] via Tela Botanica

Scammonée aiguë

A la découverte de la Scammonée aiguë en Languedoc-Roussillon

Participez à la Mission Cynanchum !

Une mission, plusieurs étapes !

1 > Préparez votre sortie !

2 > Partez sur le terrain !

3 > Saisissez vos données !

Objectif de la campagne

Observer Cynanchum acutum L. pendant les mois de juillet et d’août afin de collecter des données permettant une meilleure connaissance de la répartition et faciliter sa protection.

Contexte :

L’État mène à travers les directions régionales de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL) ses différentes politiques de préservation de la biodiversité. Pour être efficaces, celles-ci doivent s’appuyer sur une connaissance des enjeux de terrain et s’appuyer sur des observations naturalistes. Dans le cadre de sa stratégie régionale d’acquisition de connaissances, le SINP (Système d’information sur la nature et les paysages) Languedoc-Roussillon précise une liste de taxons pour lesquels nous manquons de données d’observations de terrain récentes. Cynanchum acutum fait parti de cette liste. C’est dans ce cadre que Tela Botanica lance cette mission d’observations de terrain.

Etape 1 > Préparez votre sortie !

Apprenez à reconnaître Cynanchum acutum L.

Cynanchum acutum L. – Scammonée aiguë :
Étymologie du genre : Kyôn = Chien ; ankheïn = étrangler.
Synonymie :

  • Cynanchum monspeliacum L.
  • Cynanchum acutum var. monspeliacum (L.) Gren. & Godr.


Famille : Apocynaceae

Cette plante se reconnaît à ses longues tiges à vrille grimpante et à son feuillage vert bleuté. Ses feuilles en forme de coeur sont disposées par paires, l’une en face de l’autre. Ses fleurs odorantes, en petites étoiles blanches rosées apparaissent en groupes de 15-30 à l’aisselle des feuilles pendant l’été. Cette plante toxique, possède une sève laiteuse.

Où la trouver ?

Vous la trouverez les pieds dans le sable, proche de l’eau où elle saura trouver d’autres plantes ou matériaux divers pour grimper et s’épanouir sous le soleil du littoral.

Caractéristiques :

  • Plante vivace, de 1 à 6m, glauque et un peu pubescente.
  • Tiges et rameaux grêles, allongés, volubiles et grimpants (ou rampants), émergeant au printemps et formant de large draperies au cours de l’été.
  • Feuilles molles, pétiolées, opposées, acuminées et en forme de coeur à la base.
  • Fleurs petites, blanches ou rosées, odorantes, en cymes axillaires.
  • Calice à 5 lobes ovales-aigus, 3-4 fois plus courts que la corolle.
  • Corolle petite, à 5 lobes étalés, oblongs, glabres.
  • Couronne des étamines tubuleuses, émettant 2×5 lobes linéaires.
  • Fruit : follicules fusiformes, lisses, acuminés. Plante fructifiant rarement en France.
Habitat (France) :

Se trouve sur substrat sableux, hydromorphe. Roselières, berges de canaux en milieux saumâtres, arrière-dunes.

Localisation

En France, elle se trouve principalement sur le pourtour méditerranéen, ainsi qu’en quelques localités de la côte atlantique.

Floraison

De juin à septembre.

Protection

Espèce protégée en région PACA.
Consultez également sa fiche descriptive sur l’encyclopédie de la Botanique eFlore et sa version vulgarisée, SmartFlore.
Vous pouvez aussi consulter des photos de la Scamonée Aiguë sur la Galerie PictoFlora.

Attention à ne pas la confondre avec :

Les liserons (Convolvulus L.) Galerie PictoFlora
De nombreux liserons sont également des lianes avec des feuilles en coeur, mais ces feuilles sont alternes et non glauques. Quant à leurs pétales, ils sont soudés et forment une corolle en entonnoir. Elles ne ressemblent pas aux fleurs en étoile à 5 branches de la Scammonée aïgue.

La Salsepareille (Smilax aspera L.) Galerie PictoFlora
La salsepareille est également une liane aux feuilles en coeur mais celles-ci sont coriaces et le plus souvent tachées de blanc. Les épines qui recouvrent ses tiges et ses feuilles devraient vous ôter tous doutes.

L’herbe aux femmes battues (Dioscorea communis (L.) Caddick & Wilkin) Galerie PictoFlora
Cette liane possède également des feuilles en coeur, mais ses fleurs vertes à 6 pétales (5 pour la Scammonée) et son fruit en baie rouge (follicule brun pour la Scammonée) devrait permettre d’éviter toute confusion. Par ailleurs, on ne les trouve habituellement pas dans les mêmes milieux.

La Clématite brûlante (Clematis flammula L.) Galerie PictoFlora
La Clématite brûlante est également une liane. Cependant ses feuilles sont très différentes de celles de la Scammonée. Elles sont composées de folioles. (pour rappel, il est facile de différencier une feuille simple d’une feuille composée de foliole. Les bourgeons se trouvent toujours entre une tige et la base d’une feuille. Jamais à la base d’un foliole). De plus les folioles sont ovales ou lancéolés et non en coeur. Enfin, les fleurs sont composés de 4 grands pétales blanc en croix et non 5 pétales en étoiles comme la Scammonée.

L’Araujia porte soie (Araujia sericifera Brot.) Galerie PictoFlora
L’Araujia porte soie est une liane qui porte des feuilles triangulaires (et non en forme de coeur). Ces fleurs sont en cloches et regroupées en petit nombre par inflorescence. Elles ne ressemblent pas aux fleurs de la Scammonée qui sont en étoiles à 5 branches et regroupées en inflorescences de 15 à 30 fleurs.

Etape 2 > Partez sur le terrain !

Pour trouver des endroits où la Scammonée aiguë a déjà été repérée , vous pouvez vous aider de la cartographie Flora Data.

> Emportez votre fiche de terrain (PDF, 332 ko) et si nécessaire une flore et une loupe pour vous aider à identifier la plante ainsi que la fiche descriptive (PDF, 975 ko).

> Prospectez un ou plusieurs site(s) choisi(s), seul, avec des telabotanistes ou avec le soutien de structures botaniques.

> Notez le maximum d’informations sur la fiche de terrain.

> Pensez à prendre des photos de la plante : port et organes de la plante (selon son stade phénologique : boutons, fleurs, fruits et feuilles)… Vos clichés doivent être les plus nets et plus précis que possible !

Etape 3 > Saisissez vos données !

Saisissez vos informations recueillies sur le terrain, dans l’outil de saisie spécifique à cette mission

Cartographie de la Scammonée aiguë

Visualisez les observations actuelles et les vôtres sur la cartographie dynamique

Cartographie dynamique de Cynanchum acutum L. issue de Flora Data

Vous pouvez retrouver toutes les observations de la mission « Scamonée aiguë » en suivant ce lien !

Partenaires

Mission réalisée par Tela Botanica avec le soutien opérationnel du Conservatoire Botanique National méditerranéen de Porquerolles et avec le soutien financier de la Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement de Languedoc-Roussillon.

Photographie du header : Cynanchum acutum par Danièle Domeyne , licence [CC BY SA] via Tela Botanica. Illustration Freepik.