Quelles sciences pour une planète vivable en 2030 ?

À télécharger / L'intégralité du N° 29 d'EcoRev', revue écologiste de réflexion et de débats, est en ligne. Quelles sciences pour une planète vivable en 2030 ?

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Quelles sciences pour une planète vivable en 2030 ?
Dossier coordonné par Catherine Bourgain et Marc Robert

– Techniques autoritaires et démocratiques, par Lewis MUMFORD
– Quelle gouvernance de la recherche et quelle démocratie des savoirs ? par Christophe BONNEUIL
– Pour une nouvelle alliance entre la science et les mouvements sociaux, par Hervé LE CROSNIER
– Les droits de propriété intellectuelle, arme contre les savoirs paysans, par Guy KASTLER
– Les partenariats de recherche entre chercheurs et acteurs associatifs, par Christine AUDOUX-LEMOINE
– Recherche et innovation : pour une évaluation par les citoyens, par Jacques TESTART
– Une loi pour protéger l’alerte et l’expertise, par André CICOLELLA
– A propos de l’œuvre de Donna Haraway, par Delphine GARDEY
– Pour un Forum social mondial sciences et démocratie.

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Crédit photo : « Katerina Schönfeld » / www.youthmedia.eu, CC-License(by-nc)

3 commentaires

  1. Bonjour à tous

    Quelle dérive !

    Comment en est-on arrivé à passer d’un site consacré à la connaissance des végétaux à un moyen de faire de la pub pour des groupes ouvertement politisés ?
    N’a-t-on plus le droit d’aimer les plantes, de vouloir les connaître sans être « démarché » par ce genre de publication, qui se sert d’une entrée « environnement » pour diffuser des idées politiques très marquées ?

    En bref, pourquoi tela-botanica se fait-il le vecteur d’informations de groupes politiques ?

    N’y a-t-il pas un gros problème de régulation des évènements proposés par la lettre d’information ? Celle-ci ne devrait-elle pas être consacrée exclusivement aux actualités BOTANIQUES et exclure de facto les nouvelles émanant de groupes politiques ?

    Je constate encore une fois que ce n’est pas le cas.

    De plus, tela-botanica est partenaire de plusieurs ministères, et là on tombe sur un site se réclamant (allez dans la page des liens) d’Attac, du réseau sortir du nucléaire, de la confédération paysanne, du DAL, de l’anti-prohibition du cannabis, et autres choix très peu en phase avec les choix des gouvernements français démocratiquement élus depuis plusieurs décennies.

    J’arrête là, et je m’étonne d’être le seul à réagir à ce rapt de téla-botanica par des activistes drapés certes dans les habits (en coton bio) de défenseurs de l’environnement, mais dont les buts sont politiques.

    Un internaute déçu

    1. Mon cher Bisounours,
      vous avez raison, herborisons, grattons nous le crane sur la longueur d’un pistil et que diable, laissons la politique à la brillante équipe qui nous gouverne… Le réveil risque d’être amer.
      Bizarrement je ne crois pas vous avoir lu sur la dérive des annonces de « stages » sur les vertus (commerciales) de la « beauté/santé/etc. par les plantes ». Mercantilisme et botanique font ils donc bon ménage ??

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