Terre de FEMMES, un prix pour les femmes éco-citoyennes
Le Prix Terre de Femmes de la Fondation Yves Rocher – Institut de France est né il y a 12 ans. Il met à l’honneur des femmes éco-citoyennes, militantes du quotidien et souvent anonymes qui œuvrent pour la protection de l’environnement. À ce jour, plus de 350 lauréates ont été récompensées de par le monde.
Terre de Femmes, à chacune son engagement
Les projets sont divers : protéger les pins en Pologne, créer une couveuse d’activités agricoles biologiques en Haute-Savoie, défendre les grands singes au Gabon, encourager la mise en place d’une pépinière de roses gérée par des femmes au Maroc. Chaque femme a son combat et le mène à sa façon. La variété des personnalités et des actions primées témoigne du rôle d’impulsion déterminant joué par de nombreuses femmes dans la préservation du monde végétal tout en œuvrant pour le bien-être de la collectivité.
Terre de Femmes, un Prix international
Le Prix Terre de Femmes est aujourd’hui porté par 8 pays : France, Suisse, Allemagne, Ukraine, Russie, Maroc, Portugal et Pologne. Chaque pays récompense trois lauréates. Les premières lauréates de chaque pays participent au Grand Prix International qui met à l’honneur le projet le plus emblématique.
Comment participer ?
Toute femme française ou dont la structure porteuse de l’action relève du droit français, majeure, qui œuvre au quotidien en faveur de l’environnement dans une structure à but non lucratif, peut participer. L’action doit être déjà engagée.Trois dotations sont attribuées pour la France : 1er Prix 10 000 €, 2ème Prix 5 000 €, 3ème Prix 3 000 €. Une dotation complémentaire de 10 000 € est remise au titre du Grand Prix International. La fiche de participation est disponible sur le site de la Fondation Yves Rocher : http://www.yves-rocher-fondation.org/fr/fr/terre_de_femmes/le_Prix/
Marie-Anne Bédier
Fondation Yves Rocher – Institut de France
1 commentaire
Il est temps d’aider les femmes à comprendre ce qu’elles sont et pourquoi elles oeuvrent. Elles doivent savoir que « la création d’une existence ne sert que ceux qui existent déjà, et quand elle n’est pas maitrisée la création est l’oeuvre d’un idiot ou d’un sadique. »