Votre outil botanique idéal ?

C'est la rentrée, prenons le temps de rêver un peu... Et tentons de peindre/dessiner un outil qui n'existe pas, qu'on ne connait pas, mais qui pourrait réinventer la botanique. Concept, technologies, idées innovantes... À vous les commentaires !

C’est la rentrée, prenons le temps de rêver un peu… Et tentons de peindre/dessiner un outil qui n’existe pas, qu’on ne connait pas, mais qui pourrait réinventer la botanique. Concept, technologies, idées innovantes… À vous les commentaires !

Ce n’est qu’en en parlant que vos rêves botaniques pourront être pris en compte dans nos projets futurs. Alors n’hésitez pas, dites nous tout !

Donner votre avis
C’est très simple, à vous de réagir à cette idée en postant un commentaire en bas de l’article.

22 commentaires

  1. Le CD de Lionel Carles & Ludovic Thebault « Guide de la Flore » devait être suivi d’une version pour téléphone portable…

    Permettant de photographier, localiser, identifier, signaler les plantes découvertes lors de randonnées dans la nature…

    Voilà l’outil idéal qui reste à mettre au point !

    1. Numériser les ouvrages de botanique existants et ainsi pouvoir les avoir avec soi sur une tablette type Kindle ou iPad. Un iPad mini c’est environ 300 à 400 gr et il est possible d’y stocker plusieurs ouvrages qui chacun pèsent plus de 300 gr. Cela en attendant des outils interactifs pour cette identification, surtout quand il n’y a pas de réseau. En montagne en particulier

  2. L’amélioration du logiciel {{Sauvages de ma rue}} :
    les plantes enregistrées sous « autres espèces » ne sont pas reliées à une fiche Tela, qui est pourtant forcément existante.

    Même si ces espèces ne présentent pas d’intérêt (aujourd’hui) pour votre programme, un pictogramme pourrait le signaler mais l’accès à la fiche Tela devrait exister.

    1. Bonjour,

      pour l’instant ces observations sont bien rattachées à une fiche « plante » générale qui leur permet de ne pas être perdues.
      Nous pourrions effectivement rajouter la liste complète des noms, mais du coup cela ne répondrait plus aux besoins des scientifiques.
      Si vous trouvez d’autres plantes dans el cadre de sauvages de ma rue, le mieux est que vous alliez les saisir dans votre carnet en ligne pour qu’elles bénéficient à l’ensemble du réseau.

  3. Je ne suis pas botaniste mais, pendant 9 ans passés à La Réunion, j’ai travaillé comme bénévole avec les botanistes de l’Université et j’ai pris goût à cette discipline que je n’imaginais pas aussi complexe. Vous avez présenté l’ouvrage que j’ai écrit en collaboration avec Claire Micheneau (Thérésien Cadet, botaniste et écologiste: le Scientifique « aux pieds nus ») ainsi que le site Internet »Richesse du Patrimoine Réunionnais: Flore du Domaine universitaire du Moufia ». Mon rêve, donc, en tant que non botaniste, serait la participation d’un grand nombre de bénévoles à la réalisation d’un glossaire de la botanique (et sciences connexes) dans lequel chaque terme serait clairement défini et illustré par un dessin ou une photo de qualité.

  4. Une amélioration du carnet en ligne et de la base pictoflora permettant une véritable gestion en mode « album-photo » serait bienvenue afin de pouvoir utiliser cet outil non seulement afin d’apporter des données sur le réseau mais également en permettant (de manière plus flexible que ne le permet l’actuel widget photo du CeL) une présentation des photos :

    Avoir la possibilité de créer des pages dynamiques, avec choix de la mise-en-page, ordre et agencement des photos seraient un plus.

    Autre idée :
    une base de donnée « eVeg » complétant l’actuel eFlore : sur le même modèle, remplacer les fiches espèces par des fiches « milieux naturels » sur la base des différents référentiels (baseveg, PVF, cahiers d’habitats, Eunis, Corine, etc.)

    Bien cordialement
    Florent

    1. Le carnet en ligne devrait être refondu dans les prochaines années, ce sera l’occasion de tout repenser et nous vous solliciterons évidemment pour préciser votre vision de l’outil.

      Pour eVeg, c’est prévu. Il sera simple de récupérer le modèle de fiches eFlore. La difficulté réside dans le choix du référentiel de milieux naturels, et surtout dans la constitution d’une « synonymie » entre référentiels.

  5. Je vous signale un site que j’apprécie énormément et que j’utilise depuis des années. Ce n’est peut-être pas l’outil idéal dont vous parlez mais il est parfait pour créer son propre herbier,envoyer ses photos, les classer par famille, genre, espèce, et partager éventuellement avec d’autres utilisateurs. il permet également de cartographier ses photos,et de visualiser les espèces rencontrées dans tel ou tel site. Je m’en sers régulièrement et j’ai pu créer un herbier numérique déjà bien fourni.

    http://www.monherbier.com

    1. Bonjour, merci pour ce conseil, nous allons voir, c’est vrai que c’est très intéressant niveau fluidité de la présentation
      mais il me semble que j’avais essayé de m’inscrire sans succès

    1. Quitte à rêver, autant rêver encore plus fort : un outil qui donne pour chaque mois, par grand type de milieu et par DEPARTEMENT, la liste des plantes que l’on peut voir en fleur (ce doit être possible vu qu’eFlore donne la répartition des espèces par département).

    2. Bonjour, pour cela, il nous faudrait constituer une base de données phénologique sur l’ensemble de la flore. C’est à dire un tableau avec pour chaque espèce au moins le mois de début de floraison et le mois de fin de floraison, et ce pour les différentes zones climatiques de France.
      C’est un gros travail de bibliographie et de vérification de terrain que nous pourrions lancer si nous trouvons des gens motivés pour participer.

      Une autre possibilité serait de se baser sur les photos présentes dans Pictoflora et taguées « fleur », nous pourrions récupérer le mois d’observation de ces plantes pour commencer à remplir ce tableau. Mais là c’est un gros travail informatique, et il faudrait aussi avoir des photos de toutes les plantes et ce dans différentes régions.

    3. Dans cet esprit je rappelle que plusieurs fois j’avais souligné l’intérêt qu’il y aurait à définir des régions éco-géographiques (à l’échelle d’un massif, d’une vallée,…) à intégrer au CEL en sus des départements et communes.
      C’est un travail qui devrait pouvoir motiver les associations botaniques locales.

  6. Identify Report : que je sois averti sur mon portable qu’il y a un spécimen d’une espèce rare à proximité de là où je déambule, en me spécifiant que je peux photographier mais non cueillir, ce à quoi je me conforme ordinairement, mais avec la fébrilité c’est bien qu’il y ait un rappel.

    1. Bonne idée !
      cela semble faisable en se basant sur les observations faites les années précédentes. un message flash du type « telle espèce rare a été trouvée juste à côté par le passé » ne la détruisez pas, mais signalez nous si elle est encore présente etc…

      Nous prenons note !

  7. En phytosociologie :
    Un ancien collègue me confiait son rêve de faire un relevé phyto à l’aide d’une tondeuse à gazon…

    Sinon, je suis partisan pour un carnet en ligne accessible hors ligne pour saisir sur le terrain (ce qui permettrait aussi des temps de chargement moins long entre chaque espèce) et je suis de tout coeur pour EVeg !

    1. Pour la tondeuse, cela me semble encore un rêve lointain, voire dangereux…

      Pour le Carnet en ligne de terrain, on s’en approche, avec l’application de saisie que les possesseurs d’android peuvent déjà tester ici
      {{« https: »}}//build.phonegap.com/apps/368631/share
      Elles devraient être disponible sur android market et app store d’ici la fin de l’année.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.