Changement climatique : « La nature ne se décrète pas »
Chers télabotanistes,
Notre plate forme d’échange intitulé « Tous les jardiniers de la terre, de la mer et des zones humides » sur le réseau de Tela Botanica vous invite à consulter l’article intitulé « La nature ne se décrète pas » de Monsieur Jacques Grelu.
Monsieur Jacques Grelu, ingénieur général honoraire du Génie rural des eaux et forêts nous fait part de ses recherches synthétiques dans l’extrait en pièce jointe au sujet des conséquences du changement climatique sur la végétation dans son milieu naturel et de son suivi.
Je tiens à préciser que l’auteur, le président et le conseil d’administration de la Socièté d’Horticulture et d’Histoire Naturelle de l’Hérault (SHHNH) m’autorisent à diffuser le présent article.
Je tiens à les remercier pour leur confiance.
Vous pourrez également visiter leur site si vous désirez découvrir les nombreuses activités de la SHHNH.
Je vous invite donc à prendre connaissance sans attendre cet article qui mérite toute votre attention.
Cordialement.
LE DOCUMENT La nature ne se décrète pas
1 commentaire
Affirmer, comme le fait Monsieur Grellu, que les friches et les forêts non entretenues aggravent les incidences climatiques, »démultiplient » leur conséquence, relève d’une abberation écologique très révélatrice d’une haine de la nature libre et d’une ignorance même des leçons de l’écologie : ces milieux sont au contraire d’extraordinaires arboretums de comportement, porteurs d’enseignements précieux et vitaux sur l’autoécologie des essences, notamment, sont parfaitement viables et pérennes, dans le cas des forêts : il suffit d’aller voir et travailler dans des réserves biologiques intégrales…c’est justement l’observation de ces mileux de libre expression qui nous éclaire sur la meilleure façon de gérer nos peuplement. La foresterie, heureusement, évolue et les vieilles croyances n’ont plus guère de place, face aux enjeux auxquels nous sommes confrontés…
APersuy, Forestier et ecologue, auteur de « La forêt naturelle (Belin) »