Connaître et reconnaître les Cyperacées des Ardennes

LIVRE/  Où que l’on soit, une Cyperacée n’est jamais très loin... On les trouve dans tous les types de milieux naturels. Cette famille décourage la plupart des botanistes néophytes. Pourtant, à l’exception de quelques groupes plus difficiles d’accès, les plantes de cette famille sont bien différenciées les unes des autres.

L’ouvrage est conçu en trois chapitres. Le premier propose un tour d’horizon du département des Ardennes par le prisme de ses caractéristiques climatiques, hydrographiques et géologiques, puis dessine les contours des districts phytogéographiques ardennais. Le deuxième présente la systématique et la nomenclature des Cyperacées, leurs usages, leurs préférences écologiques, les hybrides et accorde une large place à la description du langage de la botanique. La troisième partie expose les clés de reconnaissance d’une Cyperacée, propose une aide à l’identification des genres et offre une description des espèces ardennaises à travers 76 fiches monographiques richement illustrées de cartes, photographies et  dessins. Destiné aux professionnels, étudiants et naturalistes, cet ouvrage est un outil de connaissance et de reconnaissance des Cyperacées. Il est une invitation à découvrir l’originalité de cette famille, des plantes qui la composent et élargir le regard des naturalistes.

Notez qu’Aurélien a lui même réalisé la mise en page de l’ouvrage et que les dessins, réalisés par sa soeur, sont originaux et non pas des reprises. C’est une plus-value non négligeable pour cet ouvrage qui traite de taxons présents dans une bonne partie des départements français. L’ouvrage est au format 16,2 x 23,5 cm.

Informations pratiques

Connaître et reconnaître les Cyperacées des Ardennes
d'Aurélien LABROCHE
SBCO, 2020
380 pages, 16,2 x 23,5 cm
32 € + 7,5 € de port

Comment se procurer l'ouvrage ?

À commander sur le site de la SBCO : 32 € + 7,5 € de port

 

3 commentaires

  1. La politique commerciale de la SBCO est lamentable. Obliger les acheteurs de ce livre à adhérer à l’association (17 euros tout de même) pour pouvoir acheter le livre me laisse sans voix. C’est un impôt qui ne dit pas son nom ! Gonfler artificiellement le nombre de membres d’une association n’en fait pas une association dynamique. Il aurait au moins pu faire un geste pour les adhérents d’autres associations botaniques. C’est un bon moyen de ne pas partager la connaissance !

  2. L’information est biaisée.
    Les informations pratiques mentionnées sous l’article sont erronées.

    1. L’adhésion à la SBCO est obligatoire si l’on souhaite acheter le livre :
    Coût total : 32 € + 7,5 € de port + 17 € (adhésion) = 56.50 euros
    Il faudra débourser 56,50 euros et non pas 39,50 euros comme indiqué.

    2. 66 % du montant de l’adhésion peut être prise en compte au titre des réductions d’impôt MAIS seulement l’année suivante. 34 % du montant de l’adhésion forcée restent à charge de l’acheteur.

    Utiliser un stratagème pour gonfler le nombre d’adhérents, c’est la négation de la sincérité de l’adhésion qui est une condition fondamentale de l’éthique associative.

  3. Nous ne comprenons pas les commentaires de Monsieur Steve VINCENT (qui reprend les chiffres que nous avons indiqués dans une correspondance privée car peu friand de la polémique publique).
    Depuis que la SBCO existe, et à fortiori depuis la loi 1901, nous publions des livres (dont les auteurs ne demandent aucun droit) qui, dans bien des cas, restent financièrement déficitaires (d’autant plus avec l’émergence importante de la diffusion des ouvrages en pdf (ce que nous faisons de plus en plus et gratuitement au-delà de 10 ans pour nos bulletins ordinaires). Nous espérons que l’impression numérique, à la demande, viendra un jour régler cette difficulté.
    Par ailleurs, la loi 1901 exige que les bénéficiaires des actions d’une association soient adhérents (afin, entre autres, d’exercer une concurrence déloyale). On peut ne pas être d’accord, mais c’est la loi.
    Alors, oui, pour acheter un livre à la SBCO (ou plus sur une année), il faut adhérer à la SBCO ce qui coûte 6,66 € (et une avance de trésorerie d’un an de 13,32 €).
    Le glissement sémantique qui consiste à affirmer que la volonté des dirigeants de la SBCO est de « gonfler le nombre d’adhérents » est une affirmation malveillante, infamante, voire diffamatoire, qui n’engage que son auteur.
    Si le problème est uniquement l’adhésion dans son principe, il y a plusieurs solutions pour acquérir cet ouvrage sans adhérer à la SBCO comme le commander en librairie.

    Amis lecteurs, cet ouvrage est un chef d’œuvre et je vous invite à ne pas céder aux sirènes de la sinistrose pour l’acheter !

    Antoine Chastenet, Président de la SBCO

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