Vu sur la toile #91

« Chaque vendredi, GEO se penche sur les différences qui opposent des espèces animales, phénomènes climatiques ou sites patrimoniaux souvent similaires dans notre imaginaire. Place cette semaine à des plantes souvent confondues, le houx et le gui.

Gui vs houx : une différence de couleurs

Commençons par le gui. Cette plante présente des petites boules blanches et des feuilles lisses, toxiques. Mais aussi jolie soit-elle, il s’agit d’une plante parasite ! Aussi appelé Viscum album, le gui ne possède pas de racines. Il se fixe sur un arbre feuillu (généralement les peupliers, les pommiers, tilleuls ou les saules), dont il va absorber l’eau et les minéraux. Le houx, lui, est reconnaissable à ses boules rouges et à ses feuilles dentées et piquantes. Très résistant, avec un feuillage persistant, il peut facilement vivre 200 ans ! Mais attention : tout comme le gui, le houx est toxique. »

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Tour d’horizon des articles, podcasts et vidéos glanés sur la toile par Tela Botanica autour des thématiques botanique et biodiversité :

• L’orange de Noël et Le mélèze n’est pas un sapin de Noël, deux épisodes de La Main verte sur France Inter
• La welwitschia, un des arbres les plus étranges de la planète, par The Conversation
• Projet de repeuplement des forêts en France : « Il ne faut surtout pas de plantation monospécifique », par Le Monde
• Apprenez à écouter la musique des plantes, par Metro
• La politique forestière du gouvernement : « On va détruire des forêts pour planter des arbres ! », par Reporterre
• Environnement – Le réchauffement climatique met à mal la forêt nivernaise, par le Journal du Centre
• Noël 2020 : tout savoir sur le gui, un parasite devenu symbole des fêtes, par RTL
• Forêt et climat, par Coordination SUD
• Saint-Gilles-Croix-De-Vie. Une exposition virtuelle pour le concours de photos estival de 2020, par Ouest France